"Historiens et représentants craignent que soit minimisée la responsabilité des Hongrois dans la déportation des juifs.
C’est le serpent de mer de la politique locale. En Hongrie, l’idée de
créer un musée national consacré à l’Holocauste a été relancée par le
premier ministre souverainiste, Viktor Orban, fortement critiqué pour la
campagne aux relents antisémites qu’il a orchestré contre le
philanthrope américain George Soros.
Le dirigeant hongrois joue cette fois la prudence : il ne veut pas que ses « grands travaux historiques » viennent
compliquer les relations qu’il cultive avec ses alliés américains et
israéliens. Il semble aussi avoir retenu les leçons polonaises :
en 2018, Varsovie avait dû, à la suite de pressions internationales,
abandonner l’introduction de peines de prison pour quiconque accuserait
l’Etat ou la nation polonaise concernant les crimes nazis." La suite sur lemonde.fr (article payant)
mercredi 20 février 2019
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