"Les propos ont été rapportés par Jules Eisenchteter et l’entretien a été publié en anglais sur le site Kafkadesk.
Quand la Slovaquie cherche à freiner le zèle de la Pologne et de la Hongrie, les positions du tchèque, Andrej Babiš se rapprochent de plus en plus de celles du hongrois Viktor Orbán. Entre concurrences internes, instrument diplomatique de soft power et levier de politique intérieure, le groupe de Visegrád est loin d’être un monolithe. Entretien avec le politologue tchèque Vít Dostál, directeur du centre de recherche basé à Prague L’Association pour les questions internationales (AMO).
Comment le groupe de Visegrád perçoit-il son rôle en Europe aujourd’hui ? Les pays d’Europe centrale ont-ils une vision claire de la place qu’ils souhaitent occuper et de la trajectoire qu’ils veulent emprunter ?" La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
vendredi 15 février 2019
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