"Il y a dix ans, dans la nuit du 22 au 23 février 2009, trois néonazis
abattaient de sang-froid un petit garçon de cinq ans et son père, après
avoir incendié leur maison. Deux victimes supplémentaires dans leur
série de crimes racistes qui a coûté la vie à six personnes roms et
blessé des dizaines d’autres, en Hongrie en 2008-09.
Ce qu’ils
aiment, c’est frapper des familles des quartiers tsiganes en marge des
bourgades du nord-est du pays, dans le Hajdú, le Bihar, le Borsod. Mais
cette fois, leur attention s'est portée plus loin de chez eux, sur
Tatárszentgyörgy . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
dimanche 24 février 2019
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