"La
réconciliation entre Roumains et Hongrois est essentielle. Mais pour
traiter les frustrations de la mémoire collective, il s’agit d’assumer
les erreurs du passé et du présent. C’est là qu’élus, intellectuels et
mouvements civiques entrent en jeu, afin de faciliter la coopération et
mettre en place des outils permettant une cohabitation fructueuse.
Le vibrant plaidoyer de l’historien T. Szabó Csaba.
T. Szabó Csaba est historien de l’Antiquité, assistant à l’Université Lucian Blaga de Sibiu, au département d’Histoire, Patrimoine et Théologie protestante. Je viens de Satu Mare, une ville de Transylvanie qui n’a probablement jamais été homogène. Il y a cent ans, la ville était habitée par des Hongrois, des Roumains, des Souabes, des Juifs et des Roms. La multiculturalité de la ville a toujours été une réalité historique et sociologique. Aujourd’hui, 37% de Hongrois, 59% de Roumains et 1,1% d’Allemands habitent Satu Mare (Szatmárnémeti en hongrois). Je viens d’une famille où on ne parlait que le hongrois, mais..." La suite sur courrierdesbalkans.fr (article payant)
Le vibrant plaidoyer de l’historien T. Szabó Csaba.
T. Szabó Csaba est historien de l’Antiquité, assistant à l’Université Lucian Blaga de Sibiu, au département d’Histoire, Patrimoine et Théologie protestante. Je viens de Satu Mare, une ville de Transylvanie qui n’a probablement jamais été homogène. Il y a cent ans, la ville était habitée par des Hongrois, des Roumains, des Souabes, des Juifs et des Roms. La multiculturalité de la ville a toujours été une réalité historique et sociologique. Aujourd’hui, 37% de Hongrois, 59% de Roumains et 1,1% d’Allemands habitent Satu Mare (Szatmárnémeti en hongrois). Je viens d’une famille où on ne parlait que le hongrois, mais..." La suite sur courrierdesbalkans.fr (article payant)
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