"Le réalisateur du « Fils de Saul » peint la veille de la première guerre mondiale à Budapest.
Souvenons-nous d’octobre 2015. Auréolé du Grand Prix du Festival de Cannes et bientôt de l’Oscar du meilleur film étranger, Le Fils de Saul,
premier film d’un Hongrois inconnu âgé de 40 ans, sortait sur nos
écrans. Il s’y agissait, en toute simplicité, de filmer en immersion
totale les deux derniers jours de la vie de Saul Ausländer,
Sonderkommando d’Auschwitz affecté à la maintenance de l’extermination
de ses codétenus, alors qu’il concevait le projet dément d’enterrer
selon le rite juif son fils abattu sous ses yeux. La sortie de ce film
devait, en toute logique, affoler les boussoles cinéphiliques, comme à
chaque fois qu’un réalisateur entreprend de filmer l’infilmable
pourriture humaine que fut Auschwitz." La suite sur lemonde.fr
jeudi 21 mars 2019
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