"L’analyse par Azonnali du vrai-faux affrontement entre
le Fidesz du premier ministre hongrois et le Parti populaire européen.
Le second a trop besoin du premier, écrit le portail d’actualité, qui
rappelle que Berlin a fait preuve de moins de mansuétude avec Alexis
Tsipras et Athènes.
Pitié et colère nous viennent en même temps à l’esprit face aux
contorsions de l’opportuniste Manfred Weber [membre de la CSU bavaroise,
tête de liste du Parti Populaire européen (PPE) aux européennes 2019]
concernant le cas du Fidesz. Douze formations issues de neuf États
membres réclament son exclusion du PPE. Seulement voilà, ces modestes
écuries n’ont que peu de poids, à l’exception des Grecs de Nouvelle
Démocratie, et la majorité d’entre elles perdront vraisemblablement des
sièges à l’issue du scrutin de mai." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
mercredi 20 mars 2019
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