lundi 7 avril 2025

Gino Abazaj, antifasciste : « La Hongrie utilise un très coûteux système pour nous pourchasser dans toute l’Europe »

"Remis en liberté après quatre mois et demi de détention, Gino Abazaj reste sous la menace d’une extradition vers la Hongrie de Viktor Orbán. Avant une décision attendue mercredi, l’antifasciste, en visite à l’Humanité, alerte sur les menaces qui, quoi qu’il arrive, demeureront.

Maintenant qu’il est dehors, après quatre mois et demi derrière les barreaux à Fresnes (Val-de-Marne), Gino a chopé la crève. La faute aux variations de température, au grand air ou, comme il le soupçonne, aux pollens… Rien qui puisse l’atteindre vraiment, néanmoins.

Toujours sous le coup d’un mandat d’arrêt européen émis par la Hongrie de Viktor Orbán, sur lequel la cour d’appel de Paris pourrait se prononcer définitivement ce mercredi 9 avril, l’antifasciste Rexhino « Gino » Abazaj, remis en liberté il y a une dizaine de jours, court les rues de Paris et des environs, trop heureux de retrouver ses parents et ses amis.

« Je peux enfin remercier officiellement, et de vive voix, pour toute cette solidarité, glisse-t-il en arrivant avec Quentin, le..." La suite sur humanite.fr (article payant)

Roman-fleuve, récits-racines


"Le Centre Interuniversitaire d'Études Françaises (CIEF), rattaché à l'Université Eötvös Lóránd de Budapest (ELTE), organise de nombreux événements culturels à Budapest en lien avec le français ou la francophonie. Le 19 mars dernier, il a accueilli dans le cadre de son Club de lecture, Claire Hunyadi, co-auteure du roman Les Tributaires avec sa sœur Anne, sous le nom de plume Bisame Corvin.

Un extrait de cette lecture a même été choisi pour tester l’orthographe des amoureux de la langue française lors de La Grande Dictée du CIEF, s’étant tenue le 31 mars. 

Les Tributaires

France, sous le régime autoritaire et collaborateur de Vichy. Algérie française, durant la guerre d'indépendance et de décolonisation. Alsace annexée, les Malgré-nous, enrôlés de force dans la branche militaire allemande des Waffen SS. URSS, Camp de Tambov, « l'Enfer Blanc ». Hongrie, la campagne tout autant que la ville, victime du nazisme puis du stalinisme.

Publié en 2022, Les Tributaires est une affaire de famille. Co-écrit par des jumelles, ce roman-fleuve explore les événements vécus par leur parenté proche durant le XXe siècle, esquissant ainsi le portait d'une Europe meurtrie par les guerres : ces peuples divisés, ces terres sanguinolentes et ces oppresseurs aux idéologies déplorablement meurtrières.

« Toutes ces histoires sont inspirées de faits réels et de personnages ayant véritablement existé. [...] ». Ces quelques mots d'introduction nous forcent à garder à l'esprit tout au long de notre lecture que ce sont des vies qui ont véritablement été vécues." La suite sur jfb.hu

Hongrie : 2 ressortissants français, ayant arraché 17 drapeaux d’Israël, arrêtés

"Ces drapeaux avaient été installés en l'honneur de la visite en Hongrie du Premier ministre Benjamin Netanyahu.

La police hongroise a annoncé l’interpellation (lien en hongrois) de deux personnes, samedi, suspectées d’avoir arraché les 17 drapeaux israéliens installés sur le pont à chaînes Széchenyi de Budapest à l’occasion de la visite du Premier ministre Benjamin Netanyahu et de les avoir jetés dans le Danube." La suite sur timesofisrael.com

Netanyahu rencontre le diplomate en chef hongrois avant de s’envoler pour les US

"Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a rencontré le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjártó à Budapest ce matin, en présence d’un forum de hauts dirigeants d’entreprises locales, indique le bureau du Premier ministre.

Au cours de cette réunion, Netanyahu a discuté du renforcement des liens économiques, sécuritaires et technologiques avec cet État membre de l’Union européenne (UE) ainsi que de l’augmentation des investissements hongrois dans l’économie israélienne, a précisé le bureau du Premier ministre dans un communiqué.

Cet entretien conclut la visite du Premier ministre à Budapest, qui a débuté mercredi soir et a donné lieu à des rencontres avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban, des hauts fonctionnaires du gouvernement et des dirigeants juifs locaux." La suite sur timesofisrael.com

Netanyahu quitte la Hongrie pour se rendre à Washington

"Budapest (AFP) – Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a quitté Budapest dimanche pour se rendre aux États-Unis afin de discuter des tarifs douaniers et de l'Iran avec le président Donald Trump, à l'issue d'une visite de quatre jours en Hongrie.

"Je viens de conclure une visite très importante en Hongrie", a déclaré M. Netanyahu dans un communiqué à l'issue de sa visite, ajoutant qu'une coopération dans le domaine de la production de munitions avait été abordée.

Il s'agissait de la première visite du dirigeant israélien en Europe depuis 2023.

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban avait accueilli jeudi en grande pompe son homologue israélien, visé par un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité dans la bande de Gaza." La suite sur france24.com

Ramona Horvath & Gregor Storf Cool jazz for quiet dreams - dimanche 13 avril 2025 à 19h30 et 21h30 au 38Riv Jazz Club


Placement libre – Assis 
38 Rue de Rivoli, 75004 Paris 

Jazz, standards

Pour la première fois en duo, la pianiste Ramona Horvath et le saxophoniste Gregor Storf, ont concocté un programme soigneusement sélectionné, mettant en avant de magnifiques balades et des trésors du American Songbook. Leur alchimie musicale promet d'être captivante, alliant la sensibilité de Ramona au souffle puissant et expressif de Gregor.

Gregor Storf brilliant jeune saxophoniste autrichien, installé récemment à Paris, à déjà joué à côté de Dado Moroni, Flavio Boltro, Wallace Roney Jr., Joris Dudli, Renato Chicco, Max Ionata, Sandy Patton, Oliver Kent, Mario Gonzi...

Ramona Horvath est une pianiste virtuose éclectique, inspirée par les grands pianistes de jazz, avec un univers musical très varié : "En France, aujourd'hui, les pianistes de son niveau (un son et un discours d'exception) se comptent sur les doigts de la main." Médiapart

Gregor Storf : saxophone
Ramona Horvath : piano

dimanche 6 avril 2025

L’axe Budapest-Tel-Aviv : au-delà des convergences idéologiques

"L’accueil en grande pompe d’un criminel de guerre à Budapest ferait-il oublier l’essentiel ? Quelques mois avant l’invitation de Benjamin Netanyahou, des « pagers » explosifs fabriqués en Hongrie étaient activés par le Mossad contre des cibles libanaises, civiles et militaires. Quelques années plus tôt, Viktor Orbán utilisait le logiciel-espion Pegasus, conçu en Israël, pour surveiller ses opposants. Il avait d’abord été testé sur les Palestiniens, cobayes d’une surveillance étendue sur plusieurs continents. Au-delà des convergences idéologiques évidentes entre Benjamin Netanyahou et Viktor Orbán, c’est un échange de bons procédés que révèle la consolidation de l’acte Budapest-Tel-Aviv.

Viktor Orbán a convié son homologue israélien en dépit des accusations qui pèsent contre lui : usage de la famine comme arme de guerre, crimes contre l’humanité et génocide. En vertu du droit international, cela n’aurait pas dû survenir. État-membre de la Cour pénale internationale (CPI), la Hongrie était tenue d’arrêter Benjamin Netanyahou dès son arrivée sur le sol hongrois. Or, avant même l’atterrissage du Premier ministre israélien, le gouvernement d’Orbán fait savoir qu’il ne respecterait pas ces obligations légales. En accueillant un criminel de guerre, la Hongrie affiche une fois de plus son mépris des droits humains et de la justice internationale." La suite sur lvsl.fr

Grosse désillusion pour Zizou Bergs à Monte-Carlo

"Il n’est pas parvenu à dominer le Hongrois Fabian Marozsan (ATP 80) au premier tour des qualifications du tournoi.

Zizou Bergs, 50e joueur mondial, n’est pas parvenu à dominer le Hongrois Fabian Marozsan (ATP 80) au premier tour des qualifications du tournoi de tennis de Monte-Carlo, le troisième ATP Masters 1.000 de l’année et le premier sur terre battue.

Malgré son statut de première tête de série du tournoi qualificatif de l’épreuve dotée de 6.128.940 euros, le Limbourgeois s’est incliné dès son premier match en deux sets 6-2, 7-6 (7/5). La rencontre a duré 1 heure et 26 minutes." La suite sur lesoir.be

samedi 5 avril 2025

Retrait de la Hongrie de la Cour pénale internationale : quelles conséquences pour Viktor Orbán ?

"Paris, Bruxelles, 4 avril 2025. 

  • Le Président hongrois Viktor Orbán, a annoncé le 3 avril 2025 sa décision de retirer la Hongrie du Statut de Rome de la Cour pénale internationale (CPI). La ratification du Statut de Rome est considérée comme l’une des conditions pour adhérer à l’Union européenne (UE).
  • Ce retrait a été annoncé alors que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, un suspect de la CPI recherché pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, était en visite officielle en Hongrie.
  • Cette dernière manœuvre de Viktor Orbán s’inscrit dans une offensive contre la justice internationale et les droits humains, menée par des régimes en faveur de l’impunité internationale tels que les États-Unis, la Russie, la Hongrie et Israël. Les 124 États parties au Statut de Rome doivent faire front et affirmer leur engagement inébranlable envers la CPI.

Symbole de son mépris pour la justice internationale, Viktor Orbán a choisi le moment où il accueille Benjamin Netanyahu, suspect de crimes internationaux recherché par la CPI, pour annoncer l’intention de la Hongrie de se retirer du Statut de Rome. Cette décision renforce également la position de Benjamin Netanyahu, alors que ce dernier reprend sa guerre dans la bande de Gaza en bombardant des civil·es et des secouristes et impose un blocus total sur la nourriture et les fournitures essentielles depuis plus d’un mois. Le Premier ministre israélien est recherché par la CPI pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, tandis qu’il est accusé par un nombre croissant d’acteurs d’être responsable de génocide, dont la Fédération internationale des droits humains (FIDH)." La suite sur fidh.org

Hongrie. Le retrait de la CPI ne dégage pas la Hongrie de son obligation légale d’arrêter Benjamin Netanyahou

"En réaction aux informations selon lesquelles la Hongrie, État membre de la Cour pénale internationale (CPI), a accueilli Benjamin Netanyahou dans le pays sans l’arrêter et a affirmé qu’elle se retirerait de la CPI, Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International, a déclaré :

« Le Premier ministre Viktor Orbán accueille une personne recherchée par la CPI : Benjamin Netanyahou est accusé par la CPI d’avoir commis des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité à l’encontre des Palestinien·ne·s. En le recevant, la Hongrie donne dans les faits son approbation au génocide israélien, à savoir la destruction physique du peuple palestinien, en tout ou en partie, à Gaza.

« Les dirigeants et les représentants des États membres de la CPI ne doivent pas contribuer à affaiblir la Cour en rencontrant Benjamin Netanyahou ou toute autre personne recherchée. Le déplacement de Benjamin Netanyahou en Hongrie ne doit pas annoncer une tournée de l’impunité dans d’autres États membres de la CPI.

« Le retrait annoncé de la Hongrie de la CPI est une manœuvre éhontée et vaine de se soustraire à la justice internationale et de faire obstacle au travail de la Cour. Cette annonce cynique ne change rien au fait que la Hongrie a toujours l’obligation fondamentale d’arrêter et de remettre Benjamin Netanyahou à la CPI. Tout retrait prendrait effet dans un an et ne doit pas détourner la Hongrie de ses obligations juridiques internationales." La suite sur amnesty.org

La Hongrie d’Orban a déroulé le tapis rouge à Netanyahou et quitté la CPI

"Recevant le premier ministre israélien, qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale, le gouvernement de Budapest a annoncé se retirer de cet organisme.

Viktor Orban avait jugé « honteuse », « cynique » et qualifié de « discrédit complet du droit international » la décision de la Cour pénale internationale (CPI), le 21 novembre dernier, d’émettre des mandats d’arrêt pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité contre le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, et son ancien ministre de la Défense Yoav Gallant. Le premier ministre hongrois avait prévenu : la Hongrie ne mettra pas en œuvre les mandats d’arrêt. Il avait invité dans la foulée son homologue israélien à défier la CPI en se rendant en Hongrie.

Alors que l’avion de Benyamin Netanyahou s’est posé à Budapest mercredi, le gouvernement hongrois n’a pas tardé à encore surenchérir. Jeudi, Gergely Gulyas, ministre du cabinet du premier ministre, a annoncé que la Hongrie se retirait de la Cour pénale internationale. La CPI était « une initiative respectable » avant de devenir ces dernières années un « organe politique. L’inculpation du premier ministre israélien en est le plus triste exemple », a-t-il justifié. Une décision logique puisque Budapest rejoint ainsi au rang des non-signataires Israël, les États-Unis et la Russie, autrement dit ses principaux alliés." La suite sur tribunejuive.info

La Hongrie quitte la CPI : quelles conséquences ?

"Parallèlement à la visite du Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou à Budapest, le gouvernement hongrois a annoncé son retrait de la Cour pénale internationale (CPI). Nétanyahou, visé par un mandat d'arrêt émis l'année dernière par cette juridiction, a salué cette décision lors d'une conférence de presse organisée avec le chef du gouvernement hongrois, Viktor Orbán. La presse européenne fait le point.

Der Spiegel (DE) 3 avril 2025
Orbán n'a plus rien à faire dans l'UE
Les Européens ont matière à s'inquiéter, estime Der Spiegel :
«L'Union européenne a été créée dans l'intention de préserver la paix, c'est un projet qui s'appuie sur des valeurs et des normes. Dans un monde sauvage régi par la loi du plus fort, elle aura beaucoup de mal à subsister. Dans cette situation, chaque pays doit se demander à quel camp il appartient. Au camp des démocraties, qui respectent les lois, ou à l'autre camp. Viktor Orbán a fait son choix. Il n'a donc plus rien à faire au sein de l'UE.» " La suite sur eurotopics.net

Petković sur la position des Serbes au Kosovo avec un responsable hongrois

"Le directeur du Bureau pour le Kosovo-Metohija, Petar Petković, a rencontré aujourd'hui à Budapest le représentant du gouvernement hongrois Marton Ugroždi, avec qui il a discuté de la situation au Kosovo.

Ugrozdi est le secrétaire d'État adjoint du directeur politique du cabinet du Premier ministre hongrois, et l'ambassadrice de Serbie en Hongrie, Aleksandra Đurović, a également assisté à la réunion.

Petković, a annoncé le Bureau pour le Kosovo et la Métochie, a remercié particulièrement le Premier ministre hongrois Viktor Orbán et l'ensemble du gouvernement hongrois pour le soutien ferme qu'ils apportent à la Serbie dirigée par le président Aleksandar Vučić, soulignant que les excellentes relations et la compréhension des deux dirigeants sur de nombreuses questions essentielles ont ouvert la voie à des relations globales étroites entre les deux pays et les deux peuples." La suite sur radiokontaktplus.org

Meloni, Orban, extrême droite allemande... Les alliés européens de Trump en ordre dispersé sur les droits de douane

"La présidente du Conseil des ministres italienne, Giorgia Meloni, a déploré les droits de douane annoncés par Donald Trump sur les importations aux États-Unis. Le gouvernement hongrois de Viktor Orban a jugé l'Union européenne responsable de la décision du président américain.

Face aux droits de douane annoncés par Donald Trump sur les importations aux États-Unis, les Européens s'inquiètent. Même du côté des proches du président américain. L'offensive protectionniste de la Maison Blanche, sans équivalent depuis les années 1930, passe par un droit de douane généralisé d'au moins 10% sur toutes les importations à partir du 5 avril.

Des majorations sont prévues à partir du 9 avril pour les pays jugés particulièrement hostiles en matière commerciale. Les marchandises de l'UE subiront ainsi par exemple 20% de taxes additionnelles, s'ajoutant aux droits de douane déjà en vigueur." La suite sur bfmtv.com

Guerre en Ukraine : le Premier ministre hongrois Viktor Orban dénonce un "plan de guerre" de l’Europe occidentale

"Orban affirme que l'Europe déteste Trump et souhaite l'échec de ses efforts de paix.

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a accusé vendredi l’Europe occidentale de prolonger le conflit en Ukraine, qui vient d’entrer dans sa quatrième année.

Dans une déclaration à la radio publique MTI, Orban a affirmé que la Hongrie avait élaboré un plan de paix, tandis que l’Europe occidentale aurait conçu un « plan de guerre » visant à maintenir l’armée ukrainienne engagée dans un conflit prolongé avec la Russie.

Réitérant son soutien au plan de paix et aux négociations prônées par l'ancien président américain Donald Trump, Orban a déclaré : « S’il y a quelqu’un qui peut parvenir à la paix, c’est lui. Et puisque nous voulons la paix, notre rôle n’est pas de l’entraver, de le critiquer ou de lui mettre des bâtons dans les roues, mais de le soutenir. » La suite sur aa.com.tr

vendredi 4 avril 2025

Cinéma - Anna 15 avril 2025 à 19:30 Lieu: Online

Au printemps 2025 l'Institut Liszt lance un nouveau cycle de projections des films en ligne, dédiée aux adaptations littéraires. Lors de ce cycle, nous présentons trois films cultes : en mars La Demi-lune rouge (Aranyember) de Sándor Korda, en avril Anna (Édes Anna) de Zoltán Fábri, et en mai Les Faucons (Magasiskola) d'István Gaál, inspiré par un roman de Miklós Mészöly. 

Anna

Le film raconte l'histoire d'Anna (interprétée par Mari Törőcsik), qui vient à la ville après la débâcle de 1919 pour travailler comme domestique chez les Vizy. La maîtresse de maison a une fierté sans limites pour sa servante idéale. Pourtant, une nuit, Anna la douce plante neuf fois le couteau dans le corps de ses maîtres. Anna, réalisé en 1958 par Zoltán Fábri à partir d'un roman de Dezső Kosztolányi, se présente comme une tragédie sociale sans coupable.

Hongrie / 1958 / 84 min

Un film de Zoltán Fábri, d'après Dezső Kosztolányi

Avec Mari Törőcsik, Károly Kovács, Mária Mezey, Zsigmond Fülöp, Zoltán Greguss, Anna Báró

Projection gratuite

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Au Parlement européen, seule l'extrême droite défend le premier ministre hongrois Viktor Orban

"Les récentes modifications législatives adoptées par Budapest contre la communauté LGBT + suscitent un tollé au Parlement européen.

L'objectif de Viktor Orban n'est pas de se débarrasser de l'arc-en-ciel mais bien de se débarrasser de la démocratie", a lancé l'eurodéputée néerlandaise Kim van Sparrentak (groupe des "Verts") ce mercredi au Parlement européen de Strasbourg, lors du débat sur les menaces planant sur l'État de droit en Hongrie.
Elle résumait une opinion partagée dans les rangs de la gauche, du centre et du centre-droit, unanimes à condamner les récentes modifications législatives adoptées par Budapest." La suite sur lalibre.be (article payant)

Israël dit que Netanyahu et Orban ont parlé à Trump du retrait hongrois de la CPI

"L'exécutif israélien a annoncé jeudi soir que le Premier ministre Benjamin Netanyahu et son homologue hongrois Viktor Orban s'étaient entretenus avec le président américain Donald Trump au sujet du retrait hongrois de la CPI, selon un communiqué." La suite sur lorientlejour.com

En Hongrie, Orbán et Netanyahou déroulent une vision idéologique commune

"Malgré son mandat d’arrêt, le premier ministre israélien est en visite à Budapest jusqu’au 5 avril. En conférence de presse, son homologue hongrois a annoncé son retrait de la Cour pénale internationale, alors que les crimes de génocide se poursuivent à Gaza.

Benyamin Netanyahou a été accueilli avec tapis rouge et honneurs militaires au château de Buda, jeudi matin. Au même moment, les opérations israéliennes et les crimes de génocide se poursuivent dans la bande de Gaza. L’armée a multiplié les opérations terrestres et les bombardements pour occuper de larges zones de l’enclave palestinienne.

Dans le camp de réfugiés de Jabaliya, au nord de la bande de Gaza, des frappes israéliennes ont détruit un centre de santé de l’Unrwa, mercredi, faisant encore des dizaines de morts. Le ministère de la Santé du Hamas à Gaza a annoncé, jeudi, 1 163 tués depuis la reprise des attaques israéliennes, le 18 mars.

L’Autorité palestinienne a donc demandé « au gouvernement hongrois de se conformer au mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale en remettant immédiatement M. Netanyahou à la justice ». Au contraire, dès les premières heures de la visite du premier ministre israélien, à Budapest, son homologue hongrois a annoncé quitter la CPI." La suite sur humanité.fr

jeudi 3 avril 2025

Tamás Hoffmann, juriste : « La visite du Premier ministre israélien en Hongrie est juridiquement inexcusable »

*Par Tamás Hoffmann, professeur associé au Département des relations internationales de l’Université Corvinus de Budapest.
Cet article de Tamás Hoffmann*, juriste spécialiste de droit pénal international, a été publié sous le titre original « The duty to arrest » et diffusé par la lettre d’information Geo-Polemic.

Selon le juriste Tamás Hoffmann, la Hongrie a « l’obligation internationale, européenne et constitutionnelle » d’exécuter le mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale à l’encontre du premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, reçu par Viktor Orbán en Hongrie du 3 au 6 avril.

Le 30 mars 2025, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a confirmé lors d’une conférence de presse son intention de mettre en œuvre le plan du président américain Donald Trump visant à relocaliser les deux millions d’habitants de Gaza dans les États arabes voisins. Le lendemain de sa déclaration publique sur ce qui pourrait constituer un crime contre l’humanité, il a aussi été très occupé : il a dû quitter le procès pour corruption qui le visait pour témoigner dans un autre procès pénal, dans lequel deux de ses proches conseillers ont déjà été arrêtés par le parquet israélien.

Netanyahou pouvait sans doute se réconforter en pensant aux prochains jours plus calmes, puisqu’il serait accueilli par le gouvernement hongrois à Budapest du 2 au 6 avril, pour une visite officielle.

Dans cet article, je tenterai d’expliquer pourquoi la visite du Premier ministre israélien en Hongrie est juridiquement inexcusable et pourquoi il devrait être arrêté par les autorités hongroises." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

Le Témoin au cinéma Majestic Passy le 6 mai 2025 à 20h00

Cinéma Majestic Passy 18 Rue de Passy, 75016 Paris

Avec : Ferenc Kallai, Lajos Öze, Béla Both, Zoltan Fabri, Lili Monori, Karoly Bicskey

Séance présentée par Joël Chapron, spécialiste des cinématographies d'Europe centrale et orientale.

Synopsis

Début des années 1950. József Pelikán est gardien d'une digue sur le Danube. Les aventures malencontreuses de Pelikán, ancien résistant, bon communiste pourtant, mais dont l'imprudence et la maladresse lui valent de fréquents séjours en prison. Il y retourne à chaque fois quand il croit s'être enfin tiré d'affaire. Constamment secouru par un ancien camarade de combat, devenu hiérarque du Parti, Pélikán doit pourtant, un jour, témoigner contre lui dans un procès qui a les allures d'une mascarade. Pour conditionner ce témoin cher, le chef de la police lui prépare les traitements spéciaux entre intimidations et récompenses. Pelikán sera une fois promu directeur de la piscine où il chassera le colonel du service secret car il n'a pas de ticket, puis directeur du parc d'attraction de Budapest où ce même colonel prendra une crise cardiaque après avoir voyagé sur le train des "fantômes du socialisme". Chaque promotion lui vaut du retour en prison. Lors du procès, où il est placé au même banc des témoins que le mouchard fasciste de son village, il comprend qu'il a été instrumentalisé il s'y refuse absolument... et se trouve alors condamné à mort à son tour. Quand on le conduit à l'échafaud c'est le bourreau qui est disparu...

Ce film tourné en Hongrie en 1969 dénonçait les procès staliniens avec l'humour grotesque décapant du cinéaste Péter Bacsó.

Son exploitation a été interdite dans son pays pendant une dizaine d'années avant de devenir film culte dès sa sortie en 1980.

La Hongrie annonce son retrait de la Cour pénale internationale, peu après l’arrivée de Netanyahu, visé par un mandat d’arrêt de la juridiction

"Le dirigeant israélien entame une visite de plusieurs jours en Hongrie, à l’invitation de son allié Viktor Orban, bravant le mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI). Budapest a annoncé quitter la juridiction, au premier jour de la visite.

La Hongrie a annoncé jeudi 3 avril son retrait de la Cour pénale internationale (CPI), au premier jour d’une visite à Budapest du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, visé par un mandat d’arrêt de cette juridiction.

"La Hongrie quitte la CPI. Le gouvernement va entamer la procédure de retrait, en accord avec le cadre international légal", a annoncé sur Facebook Gergely Gulyas, directeur de cabinet du Premier ministre nationaliste Viktor Orban." La suite sur lindependant.fr

Appel à candidatures pour l'Université d'été Balassi 2025


Date limite d'inscription: 29 avril 2025 00:00

L'Université d'été de Balassi propose aux participants une étude intensive de la langue hongroise, ainsi que des conférences sur la littérature hongroise, l'histoire, la géographie, l'ethnographie, l'histoire du cinéma et l'histoire culturelle. En plus des 80 leçons de langue hongroise, les étudiants qui ont reçu une bourse participeront à 40 heures de programmes d'études hongroises, de conférences et de travail sur le terrain. Les activités extrascolaires (excursions, visites de musées, etc.) leur permettront d'acquérir une expérience directe de la culture hongroise.

Les quatre semaines d'études en Hongrie se déroulent à Budapest, en coopération avec la KKM Académie diplomatique hongroise Ltd. Le programme de formation en langue hongroise se termine par un examen écrit. Les participants recevront un certificat de formation pour adultes à l'issue de la formation.

La durée du programme : 14 juillet 2025 - 8 août 2025

Les candidatures peuvent être soumises uniquement via : https://spjelentkezes.mdakft.hu

L'appel à candidatures, y compris les conditions de candidature et la liste des documents de candidature nécessaires, se trouve également sur le site web : call-for-applications-balassi-summer-university-2025

Benjamin Netanyahou en Hongrie: le Premier ministre israélien doit être remis à la CPI

"Benjamin Netanyahou est en visite officielle en Hongrie, en dépit d’un mandat d'arrêt international pour des soupçons de crimes de guerre et crimes contre l'humanité à Gaza. La Hongrie est tenue de l’arrêter pour le remettre à la Cour pénale internationale mais s’y refuse.  

C’est sur invitation officielle de Viktor Orbán que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, se rend en Hongrie, pour une durée de quatre jours. Au programme : une rencontre avec son homologue hongrois ainsi que d'autres hauts responsables, avant son retour en Israël prévu le 6 avril. C’est le deuxième déplacement du premier ministre israélien Benjamin Netanyahou depuis l’émission du mandat d’arrêt international à son encontre. En février, il s'était rendu aux États-Unis pour rencontrer le président américain nouvellement élu Donald Trump.

Benjamin Netanyahou, sous le coup d’un mandat d’arrêt international

La visite de Benjamin Netanyahou en Hongrie se déroule alors même qu’un mandat d’arrêt international a été émis à son encontre par la Cour pénale internationale (CPI), en novembre 2024. Un autre dirigeant israélien est également visé : l’ancien ministre de la Défense Yoav Gallant. Ils sont accusés de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité présumés dans le cadre de l’offensive menée à Gaza. Le premier ministre israélien est accusé d’avoir utilisé la faim comme méthode de guerre, attaqué intentionnellement des civil·e·s et commis des crimes tels que des meurtres, des persécutions et d’autres actes inhumains." La suite sur amnesty.fr

Hongrie, médias : Budapest prête à quitter la Cour pénale internationale

"Le ministre de la Justice aurait fait cette déclaration lors d'une réunion avec des diplomates.

Des sources diplomatiques hongroises ont déclaré à Radio Free Europe que le pays avait décidé de se retirer de la Cour pénale internationale." La suite sur agenzianova.com

Hongrie : des eurodéputés comptent aller à Budapest pour la Marche des fiertés, défiant l’interdiction

"Une douzaine d’eurodéputés, dont des Françaises, veulent se rendre à Budapest en signe de solidarité aux personnes LGBT +, alors que la Hongrie multiplie les mesures discriminatoires envers eux.

Plusieurs eurodéputés ont annoncé ce mercredi 2 avril qu’ils se rendraient à Budapest le 28 juin pour la marche annuelle des fiertés homosexuelles, défiant une loi récemment adoptée en Hongrie pour interdire cet événement.

La nouvelle législation, adoptée en mars, a poussé des milliers de Hongrois à manifester, comme mardi soir dans les rues de la capitale. Ils ont reçu le soutien de la Commissaire européenne à l’Egalité, Hadja Lahbib, qui a rappelé le « droit fondamental » de réunion pacifique dans l’Union européenne." La suite sur nouvelobs.com

Malgré les mandats de la CPI, Netanyahou attendu en Hongrie pour parler occupation et annexion de Gaza jusqu'en Syrie

"Le premier ministre hongrois accueille son homologue israélien au mépris de la justice internationale et du mandat d’arrêt contre le premier ministre israélien. Au menu de cette rencontre : la sécurité d’israël et le soutien au plan Trump d’expulsion des Palestiniens de Gaza.

Viktor Orban n’a que faire du droit international. Sans tenir compte du mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), émis le 21 novembre à l’encontre de Benyamin Netanyahou pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre commis dans la bande de Gaza, le premier ministre hongrois reçoit son homologue ce 3 avril.

Il est le premier Européen à le faire. « La Hongrie devrait respecter ses obligations légales en tant qu’État partie à la CPI et arrêter Netanyahou », condamne Human Rights Watch (HRW). Pour Erika Guevara Rosas, responsable de la recherche, du plaidoyer et des politiques au niveau mondial d’Amnesty International, « la visite annoncée de Benyamin Netanyahou est en fait une manœuvre cynique visant à saper la CPI et son travail, ainsi qu’une insulte aux victimes de ces crimes qui se tournent vers la Cour pour obtenir justice ».

Orban et Netanyahou unis par la haine des musulmans

Mais aucun mécanisme n’est prévu pour l’exécution des décisions de la CPI. Pis, plusieurs gouvernements de l’Union européenne (UE),..." La suite sur humanite.fr

Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán déroule le tapis rouge à l'Israélien Benjamin Netanyahou réclamé par la justice internationale

"Le Premier ministre israélien, qui fait l'objet d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale, sera en visite à Budapest de mercredi à dimanche.

Saper l'autorité de la Cour pénale internationale, narguer l'Union européenne, et s'afficher en meilleur allié européen du président américain Donald Trump et du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. C'est tout cela que fait le Premier ministre hongrois Viktor Orbán en accueillant cette semaine en Hongrie
son homologue israélien. Non pas "malgré", mais bien "en raison" du mandat d'arrêt international dont il fait l'objet.

Il s'agit d'une décision outrageusement éhontée – et je dirais même cynique", avait réagi Viktor Orbán au lendemain de la décision de la Cour pénale internationale (CPI), le 21 novembre dernier, d'émettre des mandats d'arrêt pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité contre le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou et son ancien ministre de la Défense Yoav Gallant. C'est une erreur en soi, cela discrédite totalement le droit international, mais cela peut aussi jeter de l'huile sur le feu. Il est donc impératif de s'y opposer". Et d'inviter dans la foulée M. Netanyahou à venir en Hongrie, où il lui garantissait l'impunité, dans un geste de défi envers la justice internationale." La suite sur lalibre.be (article payant)

La visite de Nétanyahou en Hongrie, un geste de défi envers la Cour pénale internationale

"Le premier ministre israélien, visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale pour crimes de guerre et contre l’humanité, doit passer près de cinq jours à Budapest. Un déplacement à l’invitation de son homologue Viktor Orban, nationaliste illibéral, déterminé à ignorer la demande des juges de La Haye. 

Benyamin Nétanyahou s’apprête à poser, mercredi 2 avril, un pied dans l’Union européenne (UE) pour la première fois depuis qu’il est visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI). Et, sans surprise, c’est la Hongrie de Viktor Orban qui va ouvrir ses portes au premier ministre israélien ; ce dernier devrait passer près de cinq jours à Budapest sans craindre d’être arrêté.

Après que la Cour de La Haye eut émis son mandat d’arrêt pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, le 21 novembre 2024, le dirigeant nationaliste hongrois s’était empressé d’annoncer que son pays ne le respecterait pas. Même si la Hongrie a ratifié le traité de la CPI en 2001 durant le premier mandat de M. Orban, ce dernier a lancé, dès le 22 novembre, une invitation à son homologue israélien en lui garantissant que son pays « ne suivrait pas les termes » d’un mandat qualifié de « cynique ».

Les deux dirigeants, qui sont devenus des figures de la vague illibérale internationale, devraient afficher leur proximité idéologique lors d’une conférence de presse annoncée pour jeudi. Le premier ministre israélien a en effet absous M. Orban depuis longtemps pour ses tirades aux relents antisémites contre le milliardaire juif américain d’origine hongroise George Soros. Leur rapprochement, qui s’est amorcé sur la base de leur combat commun contre l’Etat de droit, s’est accéléré dernièrement à la faveur de l’offensive israélienne à Gaza, à laquelle le pouvoir..." La suite sur lemonde.fr (article payant)

mercredi 2 avril 2025

Soirée des Mardis hongrois de Paris du 1er avril 2025 - Les images !

 








Le Comité anti-torture du Conseil de l'Europe (CPT) effectue une visite ad hoc en Hongrie sur les prisons

"Une délégation du Comité européen pour la prévention de la torture et des peines ou traitements inhumains ou dégradants (CPT) du Conseil de l'Europe a effectué une visite ad hoc en Hongrie du 25 mars au 1er avril 2025.

Le but de la visite était d'examiner le traitement et les conditions de détention des personnes incarcérées. A cette fin, la délégation du CPT a visité les prisons de Tiszalök et de Szombathely. Une attention particulière a été accordée aux mesures prises par les autorités pour mettre en œuvre les recommandations formulées par le Comité à la suite de sa visite en 2023." La suite sur coe.int

Hongrie. Les autorités doivent arrêter le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou et le remettre à la Cour pénale internationale

"En réaction aux informations selon lesquelles le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a invité et prévoit d’accueillir le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou en Hongrie mercredi 2 avril 2025, Erika Guevara-Rosas, directrice générale de la recherche, du plaidoyer et des politiques d’Amnesty International, a déclaré :

« Le Premier ministre Benjamin Netanyahou est un criminel de guerre présumé, accusé d’avoir utilisé la faim comme méthode de guerre, attaqué intentionnellement des civil·e·s et commis les crimes contre l’humanité de meurtre, de persécution et d’autres actes inhumains. En tant qu’État membre de la Cour pénale internationale (CPI), la Hongrie doit l’arrêter s’il se rend dans le pays et le remettre à la Cour. S’il effectue une visite dans un État membre de la CPI qui n’aboutit pas à son arrestation, cela encouragera Israël à continuer de commettre des crimes contre les Palestinien·ne·s dans le territoire palestinien occupé.

« La visite annoncée de Benjamin Netanyahou est en fait une manœuvre cynique visant à saper la CPI et son travail, ainsi qu’une insulte aux victimes de ces crimes qui se tournent vers la Cour pour obtenir justice. L’invitation de la Hongrie témoigne d’un mépris pour le droit international et confirme que des criminels de guerre présumés recherchés par la CPI sont les bienvenus dans les rues d’un État membre de l’Union européenne." La suite sur amnesty.fr

La Hongrie devrait arrêter, et non accueillir, le fugitif de la CPI Netanyahou

"Tout refus d'Orban d'interdire l'entrée ou d'arrêter le dirigeant israélien constituerait une atteinte à l'État de droit.

(Washington) – La Hongrie devrait refuser l'entrée au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou ou l'arrêter s'il entre dans le pays, a déclaré aujourd'hui Human Rights Watch. Le bureau de Netanyahou a annoncé qu'il prévoit de se rendre en Hongrie le 2 avril 2025 à l'invitation du Premier ministre Viktor Orban.

Netanyahou est visé par un mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) le 21 novembre 2024, date à laquelle les juges de la Cour ont émis des mandats d'arrêt contre lui et Yoav Gallant, son ministre de la Défense de l'époque, pour crimes contre l'humanité et crimes de guerre commis dans la bande de Gaza à partir du 8 octobre 2023 au moins. Ces crimes comprennent notamment la famine imposée aux civils, des attaques intentionnelles contre une population civile, des meurtres et des persécutions. Human Rights Watch a documenté des crimes de guerre, des et des actes de génocide commis par les autorités israéliennes à Gaza.

« L'invitation d'Orban à Netanyahou est un affront aux victimes de crimes graves », a déclaré Liz Evenson, directrice du programme Justice internationale à Human Rights Watch. « La Hongrie devrait respecter ses obligations légales en tant qu’État partie à la CPI et arrêter Netanyahou s'il met les pieds dans le pays. » La suite sur hrw.org

Amnesty International exige l’arrestation de Netanyahu lors de sa visite en Hongrie

"Dans un communiqué publié le 31 mars , Erika Guevara-Rosas, responsable de la recherche, du plaidoyer et des politiques mondiales à Amnesty International, affirme : « Benjamin Netanyahu est un criminel de guerre présumé, accusé d’avoir utilisé la famine comme méthode de guerre, d’avoir intentionnellement attaqué des civils et commis des crimes contre l’humanité, dont des meurtres et des persécutions. En tant qu’État membre de la Cour pénale internationale (CPI), la Hongrie a l’obligation légale de l’arrêter s’il entre sur son territoire et de le remettre à la Cour. Tout déplacement de Netanyahu dans un pays membre de la CPI qui ne se solde pas par son arrestation encouragerait Israël à poursuivre ses crimes contre les Palestiniens dans les territoires occupés.

Elle souligne que l’accueil de Netanyahu en Hongrie constitue une insulte aux victimes et une tentative cynique de saper le travail de la CPI. « Cette invitation témoigne d’un mépris flagrant pour le droit international et envoie un signal inquiétant : un État membre de l’Union européenne est prêt à recevoir un dirigeant recherché pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité », insiste-t-elle." La suite sur oumma.com

Chefs-d'œuvre sur papier de Budapest 28 févr. — 1 juin 2025 au Guggenheim Museum Bilbao à Bilbao, Espagne

"Chefs-d’œuvre sur papier de Budapest est le résultat d’un partenariat entre le Musée Guggenheim Bilbao et le Musée des Beaux-Arts – Galerie Nationale Hongroise de Budapest, une institution renommée qui abrite des collections d’art international de l’Antiquité au XXIe siècle, et des œuvres d’art hongroises datant du Moyen Âge jusqu’à aujourd’hui. Parmi les collections qui composent son fonds, celle des Estampes et dessins se distingue par son ampleur et son étendue temporelle. Elle comprend, en effet, environ 9000 dessins et 100 000 gravures d’auteurs européens.

Réunissant une sélection large et variée d’œuvres de grands artistes, tels que Albrecht Dürer, Léonard de Vinci, Raphaël, Rembrandt, Francisco de Goya, Miklós Barabás, Henri de Toulouse-Lautrec, Pablo Picasso, Egon Schiele, Victor Vasarely, Vera Molnar, Judit Reigl, Dóra Maurer, Georg Baselitz, Katharina Grosse et Gerhard Richter, cette exposition offre un panorama complet de la création graphique, du XVe siècle à nos jours. Les quelque 150 chefs-d’œuvre sélectionnés retracent la tradition séculaire du dessin et de la gravure, deux genres ouverts en permanence au renouvellement, mettant en avant différentes solutions formelles, leurs traits essentiels et leurs effets esthétiques caractéristiques." La suite sur meer.com

Le partenariat global entre le Vietnam et la Hongrie donne des résultats fructueux

"L'ambassadeur du Vietnam en Hongrie, Bui Lê Thai, a récemment rencontré Barna Pál Zsigmond, vice-ministre et secrétaire d'État chargé des Relations parlementaires du ministère hongrois des Affaires européennes.

L'ambassadeur du Vietnam en Hongrie, Bui Lê Thai, a récemment rencontré Barna Pál Zsigmond, vice-ministre et secrétaire d'État chargé des Relations parlementaires du ministère hongrois des Affaires européennes.

Lors de la rencontre, l'ambassadeur a souligné le développement positif du partenariat global Vietnam-Hongrie dans les domaines politique, économique, commercial, culturel et éducatif. Il a salué la visite fructueuse du ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce au Vietnam du 18 au 19 mars et s'est déclaré convaincu que la 10ᵉ réunion du Comité mixte sur la coopération économique Vietnam-Hongrie, qui se tiendra prochainement à Hanoï, introduirait de nouvelles mesures visant à renforcer les liens bilatéraux en matière de commerce et d'investissement." La suite sur vnanet.vietnam.vn

Premier League : Un Hongrois en or pour le plus offrant

"Les clubs anglais ont désormais une idée de la somme qu’ils doivent débourser pour recruter Milos Kerkez.

L’écurie anglaise de Bournemouth a fixé le prix de son latéral gauche, Milos Kerkez. Les Cherries ont valorisé leur jeune défenseur à 45 millions de livres sterling. Soit un peu plus de 50 millions d’euros." La suite sur les-transferts.com

Hongrie : des milliers de manifestants protestent contre une loi interdisant la Marche des fiertés

"Plus de 10 000 personnes se sont rassemblées mardi soir à Budapest, en Hongrie, pour dénoncer l’adoption d’une loi visant à interdire la Marche des fiertés (Gay Pride). Cette nouvelle législation permettrait d’interdire l’événement au motif qu’il enfreindrait une loi sur la « protection de l’enfance ».

Des milliers de manifestants se sont rassemblés mardi soir dans les rues de Budapest pour protester contre une loi récemment adoptée visant à interdire la marche annuelle des fiertés homosexuelles (Gay Pride).

Cette loi est la dernière d’une série de mesures prises par le gouvernement du Premier ministre hongrois Viktor Orbán, qui, selon les critiques, restreignent les droits de la communauté LGBTQ + en Hongrie.

« Protection de l’enfance »

La nouvelle législation vise à interdire la marche des fiertés au motif qu’elle enfreindrait une loi sur la « protection de l’enfance », ce qui permet aux autorités d’infliger des amendes aux organisateurs et aux participants d’un tel événement, et d’utiliser des outils de reconnaissance faciale pour identifier d’éventuels contrevenants." La suite sur ouest-france.fr

Viktor Orbán défie la CPI en recevant Benyamin Nétanyahou en Hongrie

"En accueillant, ce mercredi 2 avril, le Premier ministre israélien, visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale, le dirigeant hongrois cherche à se faire une place dans la nouvelle géopolitique mondiale.

Viktor Orbán a déjà prouvé à de multiples reprises qu’il n’avait que faire des décisions de la justice européenne. Les condamnations du pays, en particulier pour violation du droit d’asile, sont toujours restées lettre morte. Cette semaine, le Premier ministre hongrois pousse la barre un cran plus haut, en ignorant cette fois la justice internationale. Il recevra mercredi 2 avril, son homologue israélien, Benyamin Nétanyahou, pourtant visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour «crimes de guerre» et «crimes contre l’humanité» à Gaza.

Depuis l’émission du mandat en novembre, c’est la seconde fois seulement que le chef du gouvernement israélien se rend à l’étranger. En février, Nétanyahou avait rendu visite à Donald Trump à Washington, mais dans un contexte légèrement différent. Les Etats-Unis ne reconnaissent pas la compétence de la CPI, contrairement à la Hongrie qui est signataire du Traité de Rome. Comme tous les autres Etats engagés, elle est normalement dans l’obligation..." La suite sur liberation.fr (article payant)

mardi 1 avril 2025

A Budapest, la communauté LGBT+ défie Viktor Orbán

"Le 18 mars, la majorité Fidesz entérinait une loi de restriction de la liberté de rassemblement ciblant surtout la Gay Pride. Militants et activistes refusent de plier face à cette nouvelle offensive.

Dans un auditorium de Budapest, des associatifs discutent ressenti et moyens d’agir face à la récente illégalisation de la Marche des Fiertés en vertu de la « protection de l’enfance ». L’échange clôt le sixième forum LGBTQI de la capitale hongroise. Le lieu est symbolique : l’université d’Europe Centrale (CEU) créée en 1991 par le milliardaire américano-magyar George Soros, bête noire du régime Orbán. Pressions et campagnes négatives ont poussé la CEU à déménager à Vienne l’essentiel de ses activités." La suite sur lesoir.be (article payant)

Extrême droite - L’internationale réactionnaire à la rescousse de Marine Le Pen

"Le porte-parole du Kremlin et Viktor Orbán, mais aussi Elon Musk, ont dénoncé la condamnation de l’ex-présidente du RN. Outre leurs affinités idéologiques avec le parti d’extrême droite, les dirigeants russe et hongrois sont aussi indirectement liés à ses finances.

Avant même que la peine d’inéligibilité de Marine Le Pen soit prononcée, le Kremlin a estimé que sa condamnation relevait du « non-respect des normes démocratiques ». Un « non-respect » qui concernerait « de plus en plus de capitales européennes », à en croire son porte-parole, Dmitri Peskov." La suite sur mediapart.fr (article payant)

lundi 31 mars 2025

«Je suis Marine», «déclaration de guerre» : Orban et Salvini apportent leur soutien à Marine Le Pen après sa condamnation

"Le Kremlin a également dénoncé la condamnation de la présidente du groupe Rassemblement national à l’Assemblée national à une peine d’inéligibilité avec exécution provisoire, ce 31 mars.

Marine Le Pen a été condamnée à une peine d’inéligibilité s’appliquant immédiatement ce lundi 31 mars dans l’affaire des assistants parlementaires. «Il s’agit de veiller à ce que les élus comme tous les justiciables ne bénéficient pas d’un régime de faveur», a déclaré la présidente Bénédicte de Perthuis. Cette condamnation pourrait empêcher Marine Le Pen de se présenter à l’élection présidentielle de 2027, alors que le Rassemblement national, premier parti d’opposition à l’Assemblée nationale, caracole en tête des sondages.

Les alliés européens de Marine Le Pen ont déjà commencé à réagir, volant à son secours. Viktor Orban, le premier ministre nationaliste de Hongrie, a publié un message sur X : «Je suis Marine»." La suite sur lefigaro.fr

En Hongrie, des mesures anti-inflation qui ciblent les enseignes étrangères

"L'inflation flambe de nouveau en Hongrie et le gouvernement de Viktor Orban a dégainé de nouvelles mesures de contrôle des prix. Mais pour la retraitée Erzsebet Risztics, les modalités sont "complètement idiotes".

Depuis la mi-mars, les enseignes réalisant un certain chiffre d'affaires ne peuvent empocher plus de 10% de marge sur la vente de trente produits alimentaires de base, comme les œufs, le lait ou le poulet.

A Tiszaroff, situé dans l'une des régions les plus pauvres du pays d'Europe centrale, peu se réjouissent de ce nouveau mécanisme.

"Seules les multinationales sont concernées et nous ne faisons pas nos courses là-bas", explique à l'AFP la sexagénaire, qui s'approvisionne chez l'épicier du coin faute de voiture ou de transports publics de qualité pour se rendre dans les supermarchés des environs." La suite sur tv5monde.com

Netanyahu en visite en Hongrie le 2 avril 2025

"Au cours de sa visite, le Premier ministre devrait s'entretenir avec son homologue hongrois du soutien potentiel de la Hongrie au plan de Donald Trump pour Gaza.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu doit se rendre en Hongrie le 2 avril, a annoncé dimanche son bureau, malgré un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour des soupçons de crimes de guerre et contre l’humanité à Gaza.

Au cours de sa visite, Netanyahu devrait s’entretenir avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban et d’autres hauts responsables hongrois avant de retourner en Israël le 6 avril.

Lors de sa rencontre avec Orban, Netanyahu discutera du soutien potentiel de la Hongrie au plan de Donald Trump pour Gaza, a déclaré une source israélienne au Times of Israel." La suite sur timesofisrael.com

Comment Benyamin Netanyahou, visé par un mandat d'arrêt de la CPI, peut-il se rendre en Hongrie ?

"Au cours de sa visite, le Premier ministre israélien doit s'entretenir avec son homologue hongrois Viktor Orban, en dépit des soupçons de crimes de guerre et contre l'humanité.

Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou doit se rendre en Hongrie le 2 avril, a annoncé dimanche 30 mars 2025 son bureau, malgré un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour des soupçons de crimes de guerre et contre l’humanité à Gaza.

Au cours de sa visite, M. Netanyahou devrait s’entretenir avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban et d’autres hauts responsables hongrois avant de retourner en Israël le 6 avril.
M. Orban a adressé une invitation à M. Nétanyahou malgré le mandat d’arrêt de la CPI, émis l’année dernière. Il avait fermement condamné la décision de la Cour, la qualifiant de « honteuse »." La suite sur actu.fr 

Coupe du monde d’escrime (épée) à Marrakech: Les Hongrois Gergely Siklosi et Eszter Muhari remportent la médaille d’or

Medi1news - Map

"L'escrimeur hongrois Gergely Siklosi et sa compatriote Eszter Muhari ont remporté les médailles d’or de la Coupe du monde d'escrime (épée) dans les catégories hommes et dames, disputée samedi à la salle couverte omnisports M’Hamid à Marrakech.

Ainsi, dans l'épreuve individuelle (dames), Eszter Muhari a battu en finale la Russe Aizanat Murtazaeva par 10 touches à 9 lors d'un duel très serré.

Chez les Hommes, l’épéiste hongrois Gergely Siklosi (3è mondial) a décroché l’or après sa victoire face au Tchèque Jakub Jurka (27è mondial) par 15 touches à 14." La suite sur medi1news.com

dimanche 30 mars 2025

Récital de piano d'Herbert du Plessis le vendredi 16 mai 2025 de 20h à 22h30 à l'Institut National des Jeunes Aveugles

INJA 56, boulevard des Invalides 75007 Paris

L’Association Musicale Franco-Hongroise et Isabelle Oehmichen sont heureuses de vous inviter à un récital exceptionnel du pianiste Herbert du Plessis, qui se tiendra le vendredi 16 mai 2025, de 20h à 22h30, à la salle Marchal de l’Institut National des Jeunes Aveugles. Au programme, un voyage musical captivant à travers les œuvres de grands compositeurs : Mozart, avec sa clarté élégante, Chopin, maître du romantisme, Fauré, aux harmonies subtiles, et Liszt, virtuose flamboyant. Ce récital promet une soirée d’émotion et de beauté, portée par le talent remarquable d’Herbert du Plessis. Réservez dès maintenant cette date pour une expérience musicale inoubliable dans un lieu empreint de cœur et d’histoire.

Places 25 euros (20 réservation en avance) et 15 (étudiants)

https://www.helloasso.com/associations/association-musicale-franco-hongroise

Benyamin Nétanyahou se rendra en Hongrie mercredi malgré le mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale

"Inconditionnel soutien du Premier ministre israélien, le chef du gouvernement hongrois, Viktor Orban, avait fustigé en novembre la "décision honteuse" de la CPI.

Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, doit se rendre en Hongrie le 2 avril, a annoncé son bureau dimanche 30 mars, malgré un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour des soupçons de crimes de guerre et contre l'humanité dans la bande de Gaza. Au cours de sa visite, il devrait s'entretenir avec son homologue hongrois, Viktor Orban, et d'autres hauts responsables hongrois avant de retourner en Israël le 6 avril.

Comme l'ancien ministre de la Défense Yoav Gallant, Benyamin Nétanyahou est visé depuis fin novembre par un mandat d'arrêt. Israël a fait appel contre cette procédure, dénonçant une décision "antisémite" et des "accusations absurdes". Inconditionnel soutien du dirigeant israélien, Viktor Orban avait fustigé la "décision honteuse de la Cour pénale internationale" et avait adressé une invitation à Benyamin Nétanyahou." La suite sur francetvinfo.fr

Sur Netflix, une série documentaire accablante pour Bertrand Cantat rend justice à Marie Trintignant et Kristina Rady

"22 ans après la mort de Marie Trintignant, qu’il a battue à mort, douze ans après le décès de Kristina Rady, son épouse qu’il a poussée au suicide, la série documentaire remarquable en trois épisodes reprend le récit, pas à pas, de l’emprise exercée par le chanteur de Noir Désir sur ces femmes et de sa violence, romantisée par la presse.

Le 27 juillet 2003, tombe sur l’AFP une dépêche effarante : La comédienne Marie Trintignant est dans le coma à Vilnius, en Lituanie, où elle terminait avec sa mère Nadine et son fils Roman Kolinka le tournage d’une mini-série de France 2 consacrée à Colette. La dépêche ajoute que son état est consécutif à des coups portés par son compagnon d’alors, le chanteur emblématique du groupe de rock Noir Désir, Bertrand Cantat. L’actrice, transportée à Paris, décède quelques jours plus tard, le 1er août, sans avoir repris connaissance.

Au cœur de cet été caniculaire, l’histoire tragique de ces deux stars emballe la presse, qui se déploie à Vilnius. Comme on est en 2003, bien avant #MeToo, le terme de féminicide n’est pas employé. Les journaux parlent de « crime passionnel »." La suite sur humanite.fr

"Qu'est-ce qu'on va faire, ça fait très peur", l'entreprise Epta France veut supprimer 15 emplois à Hendaye

"L’entreprise spécialisée dans la réfrigération commerciale, Epta France, projette de supprimer 15 postes dans les bureaux de la société à Hendaye. Face à cette menace, plus de 150 employés ont participé, ce vendredi 28 mars, à une journée usine vide.

Coup de froid pour les employés d’Epta France d’Hendaye. L'entreprise d'éléments frigorifiques veut supprimer 15 postes administratifs à Hendaye au Pays basque et quatre postes en Isère. Contre ce possible plan de suppression de postes, plus de 150 des 500 employés de l'entreprise spécialisée dans la réfrigération commerciale ont décidé de faire tourner au ralenti les chaînes de production, ce vendredi 28 mars.

Ce mouvement social dénonce la volonté de la direction, de faire "des économies et de sous-traiter les tâches administratives à Budapest en Hongrie", explique Fernando Fernandez, délégué syndical CFDT. Cette délocalisation de l'activité en Europe de l'Est permettrait à Epta France de réaliser "un million d'euros d'économie", selon l'intersyndicale, CFE-CGC, CFDT Métallurgie et CGT Hendaye. Un discours difficile à avaler pour les employés. L'année dernière l'entreprise a réalisé un bénéfice net de 13 millions d'euros, toujours selon les syndicats." La suite sur francebleu.fr

"Les Etats-Unis risquent de devenir la Hongrie" : comment l’Amérique de Trump vire à l’autocratie

"Etats-Unis. Donald Trump s’attaque à la justice, aux médias, aux universités, aux contre-pouvoirs. Mais le plus surprenant est l’absence d’esprit de résistance du camp démocrate.

Depuis son arrivée au pouvoir, Donald Trump exerce une vengeance méthodique contre ses ennemis. Ces dernières semaines, il a signé des décrets en représailles contre cinq grands cabinets d’avocats qui ont représenté des rivaux politiques ou intenté des actions en justice contre lui et son gouvernement. Paul Weiss, l’un des plus prestigieux, très lié au parti démocrate, s’est opposé à sa politique d’immigration lors de son premier mandat. Covington & Burling, une autre firme sur la sellette, a représenté Jack Smith, le procureur chargé..." La suite sur lexpress.fr (article payant)

Prochaine rencontre des Mardis hongrois de Paris le 1er avril 2025 à partir de 20 h au Café Le Zimmer

 
Prochaine rencontre

le mardi 1er avril 2025
à partir de 20 h
au café Le Zimmer
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
 
A legközelebbi összejövetel
2025 április 1.-én este 8-kor kezdődik
a Le Zimmer kávéházban
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
Facebook esemény
 




samedi 29 mars 2025

La Russie négocie des matches amicaux avec la Hongrie

"Le ministre russe des Sports et président du Comité olympique russe, Mikhaïl Degtyarev, a déclaré que la Russie et la Hongrie avaient l'intention de renforcer les contacts bilatéraux dans le domaine sportif dans tous les domaines.

Depuis que la Russie a envahi l'Ukraine, la Hongrie a régulièrement menacé de bloquer l’aide de l’Union européenne à Kiev ou de s’opposer à des sanctions contre la Russie. On n'est donc pas étonné d'apprendre que la Russie négocie actuellement des matchs amicaux avec différents pays, dont la Hongrie. Vladimir Dyachok, secrétaire général et directeur exécutif de la Fédération russe de basket-ball, en a parlé à l'agence russe TASS." La suite sur basketeurope.com

Monaco-Hongrie : Une alliance économique prometteuse se dessine à Budapest

"La délégation du Monaco Economic Board (MEB) revient de la capitale hongroise avec des perspectives d’affaires florissantes et des accords concrets, marquant un tournant dans les relations économiques entre les deux États.

Durant trois jours intenses, du 24 au 26 mars, une dizaine d’entrepreneurs monégasques ont participé à une mission économique soigneusement orchestrée à Budapest. Le point culminant de cette visite a été un forum organisé en collaboration avec l’Agence Hongroise de Développement des Exportations (HEPA) et la Chambre de Commerce et d’Industrie de Hongrie. Chaque participant monégasque a rencontré au minimum six contacts d’affaires, sélectionnés pour répondre précisément à leurs objectifs commerciaux.

Signature d’un accord stratégique

Un protocole d’accord a été signé entre Guillaume Rose, Directeur Général Exécutif du MEB, et Elek Nagy, Président de la CCI de Hongrie et Consul Honoraire de Monaco en Hongrie. Cette signature s’est déroulée en présence de Katalin Bihari, Secrétaire d’État adjointe du ministère des Affaires étrangères hongrois, et de José-Luis Delso, Consul Honoraire de Hongrie à Monaco." La suite sur monaco-tribune.com

Le PM hongrois met en garde contre l'implication croissante de l'UE dans le conflit ukrainien

"BUDAPEST, 28 mars (Xinhua) -- Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a mis en garde vendredi l'Union européenne (UE) contre une escalade politique du conflit armé en Ukraine.

S'exprimant sur une radio publique locale, il a fait référence aux récentes recommandations des responsables de l'UE, qui conseillent aux ménages de constituer des stocks de nourriture pour 72 heures. "A première vue, cela peut sembler amusant, mais si l'on y regarde de plus près, c'est plutôt alarmant", a jugé M. Orban.

A ses yeux, l'UE s'est déjà impliquée dans le conflit en soutenant l'Ukraine. "La Hongrie est restée à l'écart. Nous sommes du côté de la paix ; nous n'envoyons pas d'armes ni de soldats", a-t-il noté. "Mais il y a des pays au sein de l'Union, et Bruxelles semble être leur porte-parole, qui veulent s'enfoncer davantage dans la guerre"." La suite sur news.cn

Les Hongrois ne voient pas la Russie comme une menace

"Les Européens, la guerre et la paix (5/7). En Hongrie, l’opinion publique partage majoritairement la volonté de Viktor Orban de se tenir à l’écart de la guerre en Ukraine. 

La contradiction est frappante pour qui a l’habitude d’assister aux grands discours « pour la paix » que Viktor Orban prononce depuis le début de la guerre en Ukraine lors des fêtes nationales hongroises. Si, sur scène, le premier ministre nationaliste répète sans cesse aux Hongrois qu’il fait tout pour les « préserver de la guerre » qui frappe leur grand voisin oriental, devant lui, l’armée du pays est souvent omniprésente et largement mise en avant.

Déployés dans des stands, des soldats cherchent des recrues en proposant des salaires de 700 000 forints bruts (environ 1 700 euros) et ils font leur publicité auprès des jeunes enfants, leur offrant la chance de monter sur des véhicules militaires voire de jouer avec des armes factices… Certains militaires arborent la tenue d’apparat héritée de l’empire austro-hongrois, signe de nostalgie pour cette époque où la Hongrie dominait une grande partie de l’Europe centrale.

La suite sur lemonde.fr (article payant)