à partir de 20 h
au café Le Zimmer
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
2024 október 22.-én este 8-kor kezdődik
a Le Zimmer kávéházban
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
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"L'UE s'inquiète de voir la Hongrie et la Pologne continuer à violer les valeurs européennes, en dépit des multiples avertissements et des procédures lancées contre ces deux pays." La suite sur lecho.be (article payant)
"À l’initiative de la Maison de l’Europe de Lot-et-Garonne et à l’occasion de la présidence hongroise du conseil de l’Union Européenne depuis le 1er juillet, une conférence a été organisée au conseil départemental en début de semaine. Son Excellence Monsieur Georges Habsbourg-Lorraine a pu échanger sur l’avenir de l’Europe.
Dans son discours d’accueil, Paul Vo Van, conseiller départemental, n’a pas manqué, malicieusement, de rappeler qu’en Lot-et-Garonne « se sont installés Italiens, Espagnols, Polonais, Marocains, Algériens, Indochinois… qui ont fait la richesse de notre département et le bonheur de ceux qui s’y sont installés », mettant ainsi l’accent sur la politique migratoire européenne de plus en plus restrictive. Politique dont la Hongrie se fait le chantre en allant même bien au-delà des mesures de contrôle aux frontières des migrants ce qui vient de lui valoir une forte amende de la part de l’Union Européenne. Cette entrée en matière pouvait laisser présager des débats houleux ce qui ne fut absolument pas le cas. Les échanges sont demeurés extrêmement courtois y compris durant la partie questions-réponses." La suite sur ladepeche.fr
"L’OCDE a annoncé hier que son groupe de travail sur la corruption avait annulé «une mission à haut niveau» prévue en octobre à Budapest, car le gouvernement hongrois avait été «dans l’incapacité de se faire représenter de manière suffisante».
«Lors
de sa réunion d’octobre 2024, le groupe de travail de l’OCDE sur la
corruption a décidé d’annuler une mission à haut niveau prévue les 15 et
16 octobre à Budapest, le gouvernement hongrois ayant été dans
l’incapacité de se faire représenter de manière suffisante, par des
ministres et des hauts fonctionnaires, lors de cette rencontre», indique
un communiqué de l’Organisation de coopération et de développement
économiques. «C’est la première fois qu’une mission à haut niveau est
annulée», précise l’organisation basée à Paris. Son groupe de travail
sur la corruption «a décidé d’appliquer des mesures complémentaires»,
précise le communiqué, sans détailler les mesures en question, «afin que
le gouvernement hongrois reprenne la collaboration à un niveau adéquat
et propose un ensemble de mesures destinées à remédier aux lacunes
spécifiquement identifiées par le groupe de travail». " La suite sur elwatan-dz.com
"Le lycée Maurice-Genevoix accueille vingt-quatre élèves hongrois, accompagnés de leurs professeures, Gabriella Luca Mészáros et Eszter Burits.
Cet échange s’inscrit dans le cadre du programme Erasmus + avec le lycée Szilágyi de Budapest, afin de créer un partenariat éducatif enrichissant.
Le thème de cet échange est « L’eau et la nature : l’eau, l’élixir
de notre vie ». Il met en lumière l’importance de l’eau, ressource
essentielle menacée par divers enjeux environnementaux." La suite sur larep.fr
Décryptage - Malgré des mesures contestées et des relations houleuses avec les institutions européennes, la ligne du gouvernement hongrois est de plus en plus normalisée.
À Budapest, les nationaux-conservateurs de Viktor Orban en
ont la conviction : sur la question migratoire, ils sont empêchés par
les élites en place, mais sont au diapason des Européens, et l’histoire
leur donnera bientôt raison. « Le système européen actuel
ne sera plus toléré longtemps. (…) Toute l’Europe est en train de
changer. Il faudra juste encore un peu de temps avant qu’ils ne
s’alignent sur notre politique antimigratoire », a déclaré
vendredi dernier le chef du gouvernement sur la radio publique Kossuth.
Le dirigeant magyar en veut pour preuve le tour de vis donné par les
sociaux-démocrates en Allemagne, la récente victoire de son allié Geert Wilders aux législatives en Hollande, ou encore « le
nouveau ministre de l’Intérieur français, qui est très en avance sur
moi, même si je dis aussi des choses dures sur l’immigration ». La semaine dernière, il avait déjà tressé des louanges à Bruno Retailleau devant des journalistes à…" La suite sur lefigaro.fr (article payant)
"Le Parlement européen vient de donner son feu vert à la désignation du Hongrois Olivier Varhelyi comme commissaire européen. C’était le dernier obstacle avant le vote de confirmation de la nouvelle commission, qui pourrait entrer en fonction au 1er décembre.
Le Hongrois Olivier Varhelyi était le dernier membre de l’équipe d’Ursula von der Leyen à ne pas avoir obtenu le soutien des députés européens, c’est chose faite ce lundi. Les élus ont donné leur feu vert à la nomination comme futur commissaire à l’élargissement de l’ambassadeur de Viktor Orban auprès de l’UE, après lui avoir demandé des gages de son indépendance vis-à-vis de Budapest. Les eurodéputés ouvrent ainsi la voie à un vote en séance plénière sur l’ensemble de la commission Von der Leyen. Il se tiendra le 27 novembre et devrait, sauf surprise, permettre à la nouvelle commission d’entrer en fonction le 1er décembre, avec un mois de retard.
Le diplomate hongrois était avec Adina-Ioana Valean et Thierry Breton l’un
des trois candidats de seconde ligne auditionnés jeudi 14 novembre par
les eurodéputés, après que les candidats initiaux de la Hongrie, de la
Roumanie et de la France aient été rejetés. Mais trois heures d'audition
n'avaient pas suffi à convaincre une majorité suffisante des députés
sur le cas d'Olivier Varhelyi. Les élus du centre et de la gauche ont
demandé au Hongrois de répondre à de nouvelles questions par écrit. Ce
blocage avait laissé planer la question d'un nouveau report de
l'intronisation de l'équipe von der Leyen." La suite sur lecho.be
"Le ministère iranien des Affaires étrangères a convoqué, ce mardi 15 octobre, l’ambassadeur de Hongrie, qui représente la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne, pour exprimer sa ferme opposition aux récentes sanctions imposées par l’UE à l’encontre de la République islamique d’Iran.
Ces sanctions, annoncées la veille par les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne réunis à Luxembourg, visent 14 entités et individus en Iran, parmi lesquels la compagnie aérienne Iran Air. L’Union européenne accuse l’Iran d’avoir fourni des missiles balistiques à la Russie dans le cadre de la guerre en Ukraine. Les mesures incluent notamment le gel des avoirs des personnes et organisations ciblées ainsi qu’une interdiction de déplacement sur le territoire européen.
Dans un communiqué, le ministère iranien a exprimé une « objection
forte » contre ces décisions, qualifiant les sanctions de « méthodes
illégales et coercitives » qui, selon Téhéran, ne mèneraient « à rien ».
Le ministère a également dénoncé une « violation flagrante des normes
du droit international, en particulier des droits humains et des
libertés fondamentales »." La suite sur entrevue.fr
"Le gouvernement hongrois a annoncé négocier avec Gazprom pour des livraisons de gaz russe en 2025. L’aide française à l’Ukraine devrait dépasser les deux milliards d’euros en 2024. Retour sur les événements qui ont marqué la nuit du lundi 14 au mardi 15 octobre 2024.
La Hongrie veut continuer de profiter des exemptions aux sanctions lui
permettant de se procurer du gaz russe. Le pays dirigé par Viktor Orbán a
annoncé être en négociation avec Gazprom pour se faire livrer du gaz en
2025." La suite sur ouest-france.fr
"Les résultats varient en fonction de l'indicateur utilisé et selon que l'on considère l'Union européenne ou l'Europe dans son ensemble.
Le Premier ministre Viktor Orbán a été accusé de faire de la Hongrie "le pays le plus corrompu de l'UE" à la suite de son discours devant le Parlement européen la semaine dernière.
Après que M. Orbán a
exposé ses priorités pour la présidence hongroise de l'UE mercredi,
Péter Magyar, un ancien membre du parti Fidesz de M. Orbán qui est
devenu le plus grand rival politique de M. Orbán, a reproché au premier
ministre d'avoir ruiné la réputation du pays." La suite sur euronews.com
"Le ministère hongrois de l'économie a proposé lundi que les économies réalisées sur les comptes de pension privés puissent être utilisées en franchise d'impôt à des fins de logement, à titre de mesure ponctuelle l'année prochaine, dans le cadre d'efforts plus larges visant à stimuler l'économie avant les élections législatives de 2026.
Au pouvoir depuis 2010, le premier ministre Viktor Orban s'est
efforcé de relancer l'économie hongroise après la récession de l'année
dernière, à la suite d'une poussée de l'inflation à plus de 25 % au
premier trimestre 2023, le niveau le plus élevé de l'Union européenne." La suite sur zonebourse.com
"Une délégation conduite par Christoph Ernst, vice-président de Questions juridiques et affaires internationales à l'OEB, était présente à la conférence intitulée Propriété intellectuelle à l'ère de l'IA à Budapest à l'occasion de la présidence hongroise du Conseil de l'Union européenne. Le vice-président a prononcé un discours d'ouverture et participé à des réunions bilatérales avec M. Szabols Farkas, président de l'Office hongrois de la propriété intellectuelle (HIPO), et M. Balázs Gulyás, co-président du Conseil national de la politique scientifique et président du Réseau de recherche hongrois (Hun-Ren).
L'IA au service de la propriété intellectuellePrenant la parole à la conférence sur l'IA, le vice-président Ernst a insisté sur la volonté de l'OEB de continuer à soutenir la mise en place d'un écosystème robuste, compétitif et durable : "l'Europe
doit continuer d'attirer les innovateurs, et ne pas être qu'un
tremplin. Nous disposons d'esprits brillants qui ont des idées
brillantes. L'OEB recherche donc les moyens de les libérer grâce à un
système des brevets inclusif et accessible qui fonctionne pour les
start-up, les PME, les universités et les inventeurs individuels." La suite sur epo.org
"Le metteur en scène hongrois Kornél Mundruczó présente le drame débridé de Kata Wéber à Paris, au théâtre de l'Odéon-Berthier. Il croise avec fracas les destins d'une famille juive entre Hongrie et Allemagne confrontée à la mémoire de la Shoah.
Décaler le regard pour mieux observer son objet, c'est le principe de « Parallax », expérimenté par le metteur en scène et réalisateur hongrois Kornél Mundruczó aux Ateliers Berthier de l'Odéon (Paris). Avec sa compagnie indépendante Proton Theatre, il explore le portrait, brossé par l'auteure et scénariste hongroise Kata Wéber, d'une famille juive entre Hongrie et Allemagne au prisme de la mémoire de la Shoah. Dans un dispositif cinématographique en huis clos mêlant hyperréalisme et phénomènes surnaturels, grand-mère, fille et petit-fils confrontent les traumas du passé, les tabous du présent et leurs résonances politiques et bibliques." La suite sur lesechos.fr (article payant)
"Négociations pour court-circuiter le blocage hongrois : depuis un an Budapest bloque le transfert de 6,6 milliards d'euros à l'Ukraine.
La Facilité européenne pour la paix est un instrument créée avant la guerre en Ukraine pour renforcer la capacité de l'UE à prévenir les conflits.
L'invasion russe a tout changé.
Depuis février 2022, le fond européen sert à rembourser partiellement les États membres pour les armes et les munitions données à Kiev.
L'instrument est aujourd'hui bloqué par la Hongrie qui refuse le transfert à l'Ukraine de 6,6 milliards d'euros." La suite sur euronews.com
La réservation est ouverte pour le concert du 7 Novembre avec Roberto Benzi (!!!) et l’orchestre Monarchia de Budapest, n’hésitez pas à transmettre cette information à vos amis parisiens! L’occasion d’écouter et de rencontrer un chef de légende! Nous aurons le plaisir de jouer ce programme deux fois à Budapest avant ce concert parisien.
Ramona Horvath - piano
Katia Schiavone - guitare
Kyle Colina - c.basse
Ocie Davis - batterie
Ouverture des portes 45mn avant le début du concert.
À
l’occasion du centenaire de la naissance de Bud Powell , la pianiste
Ramona Horvath et la guitariste Katia Schiavone , toutes deux
influencées par le génie du be-bop, lui rendent hommage à travers
une sélection de ses compositions et de standards restés
incontestablement liés aux interprétations de Powell.
Ramona et Katia présenteront pour la première fois ce répertoire,
soigneusement choisi avec quelques arrangements spécialement conçus. Une
soirée à ne pas rater !
"Le navigateur hongrois Szabolcs Weöres est déterminé à courir le Vendée Globe 2024, sur les traces de Nándor Fa, le premier skipper hongrois à avoir terminé la course. Riche d'une expérience de navigation en dériveur, sur des quillards, en match racing, il a travaillé comme gréeur pour le Team Shosholoza lors de la 32e Coupe de l'America et a poursuivi sa carrière dans l'industrie de la voile. Sur le plan sportif, Szabi a participé à six courses Ironman, à des marathons en moins de trois heures et au championnat du monde Ironman à Kona, à Hawaï. La philosophie de Szabi est d'avancer pas à pas pour construire son expérience en solitaire."
"C'est en Hongrie que notre chroniqueur Étienne Madranges nous emmène cette semaine, afin d’évoquer deux personnages qui ont mené des combats historiques pour l’indépendance. L’un, avocat héros de la révolution hongroise de 1848 luttant pour l’indépendance de son peuple, emprisonné pendant trois ans pour ses idées libérales, condamné à mort par contumace à l’instigation des autorités autrichiennes et contraint à l’exil. L’autre, magistrat du XXIe siècle, luttant pour l’indépendance de la justice dans son pays, démis de ses fonctions puis réintégré sur injonction de la justice européenne.
Lajos Kossuth, avocat, fils d’avocat et petit-fils de juge.
On lui doit cette citation "Le patriotisme est la source du sacrifice, par cette seule raison qu’il ne compte sur aucune reconnaissance quand il fait son devoir."
Lajos Kossuth naît en 1802 dans un village d’une région hongroise viticole. Son père est avocat et son grand-père est magistrat. Sa famille est protestante. Après des études de droit, il devient avocat et seconde son père avant de travailler pour des familles aristocratiques et de rédiger des documents destinés à la Diète nationale, cette assemblée que l’on peut comparer aux États généraux en France, et dans laquelle on ne s’exprime qu’en latin jusqu’au début du XIXe siècle." La suite sur jss.fr
"Derrière la stratégie de normalisation qu’opère le Rassemblement national depuis des années, il y a le projet politique réel qu’il projette pour la France. Pour en mesurer la gravité, il n’y a qu’à regarder vers Budapest, puisque Viktor Orbán tient lieu de modèle et d’allié au RN.
Mercredi dernier, Viktor Orban
a vécu une matinée exceptionnelle. Après avoir amendé la Constitution
dans son intérêt, après avoir lancé une vague de harcèlement judiciaire
contre ses opposants et placé ses affidés à la tête des grands médias,
le premier ministre hongrois s’est tenu mercredi face aux parlementaires
européens. Alors en hémicycle, nous lui avons demandé des comptes." La suite sur lopinion.fr (article payant)
Rendez-vous pour une rencontre littéraire en ligne avec Tamas Gyurkovics pour son roman Migraine aux Éditions Viviane Hamy. La rencontre sera en direct sur la plateforme Zoom.
La rencontre littéraire sera ainsi animée par Anthony Lachegar, aka Serial Lecteur Nyctalope
Ouverture des portes 45mn avant le début du concert.
Boggie est une auteure-compositrice-interprète basée à Budapest.
Elle écrit et chante ses propres chansons en français, en anglais et en hongrois.
Elle conçoit également ses œuvres d’art. L’univers musical de Boggie est un mélange de musique classique,
de jazz, de musique du monde et de musique pop française.
Sur scène, Boggie se produit avec l’étonnant
ANTAL GABOR TRIO.
Son premier album intitulé « Boggie » (2013) s’est classé troisième au classement Billboard en février 2014. Son vidéoclip intitulé « Parfum » a suscité un intérêt international considérable, atteignant 30
millions de vues.
"Sur le plateau de l’Odéon-Berthier, dans le cadre du Festival d’Automne, le metteur en scène et réalisateur hongrois Kornél Mundruczó et ses comédiens du Proton Theatre déploient les béances du traumatisme de la Shoah dans une famille éclatée. Trois personnages, une vieille mère dépositaire de la mémoire, née à Auschwitz, sa fille qui veut profiter de son identité juive pour s’installer à Berlin avec son fils et ce dernier, revenu enterrer sa grand mère en clamant haut et fort son homosexualité dans un pays qui réprime toutes les revendications LGBTQI. Au croisement de toutes ces revendications, une création puissante, crue et dérangeante, qui ne peut laisser indifférent.
Née à Auschwitz
Pour Kornél Mundruczó, metteur en scène, réalisateur de films et scénariste, toute est une question de perspective. Dans un appartement de Budapest, une vieille femme juive, dont les capacités mnésiques semblent atteintes, prend son petit déjeuner. Sa démarche lourde, ses gestes hésitants, son regard apeuré sont retransmis en gros plan sur les deux écrans qui font face au public. L’appartement est mis en boite comme un studio de cinéma dont les deux techniciens s’activent à l’intérieur. Survient une jeune femme, sa fille, fraîchement débarquée de Berlin où elle a choisi de vivre avec son jeune fils. Son objectif : tenter de convaincre sa mère d’accepter du gouvernement hongrois une médaille de rescapée des camps. En effet, la vieille dame est née à Auschwitz d’une mère déportée puis relativement « protégée » par le Docteur Mengele en raison de la blondeur de ses cheveux et de ses yeux clairs. Pas question de se déclarer aux autorités hongroises clame la vieille femme, habitée au fond d’elle par la série des traumatismes, exclusions, vexations terribles subies durant toute sa vie, durant et après la guerre, sous la chape de plomb de la Hongrie communiste." La suite sur artistikrezo.com
"L'Albanie et la Hongrie ont signé deux accords de coopération et ont exprimé leur volonté d'approfondir davantage la coopération et les investissements hongrois à Tirana.
Un accord dans le domaine de l'agriculture et un autre dans celui de l'administration publique ont été signés lors d'une visite du Premier ministre albanais, Edi Rama, à Budapest, où il a été rencontré par le dirigeant hongrois Viktor Orban.
"Nous avons discuté de la manière dont nous pourrions élargir cette coopération, qui, en fait, n'est pas une coopération en soi, mais une aide à sens unique de la partie hongroise envers nous", a déclaré Rama lors d'une conférence de presse conjointe avec le Premier ministre Orban." La suite sur koha.net"L'année dernière, près de 52 millions d'euros ont été dérobés à des internautes hongrois par des fraudeurs et des pirates informatiques.
Jeudi, des centaines d'étudiants de Budapest ont appris à se protéger contre la fraude en ligne lors d'un événement "CyberFest" organisé par la police hongroise.
Des hackers, des influenceurs, des avocats et des agents des services secrets chargés de la cybersécurité ont mis en garde les jeunes contre les menaces croissantes sur Internet.
"Avec 34 classes de 23 écoles, près d'un millier d'élèves ont eu l'occasion de participer à nos activités aujourd'hui", déclare le major général Tamás Terdik, chef de la police de Budapest." La suite sur euronews.com
"Nous accueillons cette semaine Pierre Vimont, chercheur associé à la fondation Carnegie Europe et ancien secrétaire général du Service européen pour l'action extérieure. Il revient sur le grand oral du Premier ministre hongrois Viktor Orban devant le Parlement européen, qui a mis à jour les divisions sur l‘Ukraine, ainsi que sur les défis à venir de la nouvelle mandature.
Pour Pierre Vimont, la position controversée du Premier ministre hongrois Viktor Orban
sur l’Ukraine, tient pour une part de la "provocation". Mais il estime
aussi que Viktor Orban dit haut et fort ce que beaucoup de dirigeants
européens pensent tout bas. "Depuis longtemps, il appelle ses
partenaires européens à avoir entre eux une vraie discussion sur l'Ukraine
et sur l'objectif final que nous souhaitons atteindre", explique Pierre
Vimont. "Actuellement, sur le terrain, c'est devenu beaucoup plus
difficile. La vérité, c'est que nous sommes un peu dans une impasse",
admet-il. Le chercheur appelle à une "très grande fermeté quand Orban
ignore les règles européennes, fait du chantage et bloque pratiquement
toutes les décisions d'aide à l'Ukraine"." La suite sur france24.com
"Après Marine Le Pen en 2022, Viktor Orban épaule le parti espagnol Vox et le FPÖ autrichien par l’intermédiaire de la banque d’un oligarque proche du dirigeant hongrois. L’hebdomadaire “HVG” se penche sur cette stratégie visant à “favoriser la poussée des nationaux-populistes”.
“Orban, le banquier de l’extrême droite européenne”, tacle le sous-titre de couverture de HVG du 10 octobre 2024. Le magazine joue avec les mots et souligne la montée des extrêmes en Europe en titrant “Utolsokbol a szelsok”, détournement de l’expression “Utolsokbol az elsok” qui veut dire “Les derniers seront les premiers”, sachant que szelsok signifie “extrêmes”.
Dans ce contexte, l’hebdomadaire s’intéresse au soutien accordé au Rassemblement national en France, au parti espagnol Vox et à une chaîne liée au FPÖ
autrichien par le biais d’une banque de l’oligarque Lorinc Meszaros,
ami du dirigeant magyar. Sur la une, Orban tient des billets de
200 euros derrière trois personnages vêtus de brassards rappelant
l’imagerie nazie ou fasciste et affichant des billets du même montant." La suite sur courrierinternational.com
En juin dernier, Péter Magyar — nouvel opposant numéro un au Premier ministre Viktor Orbán — aurait pris le téléphone portable d’un homme qui l’avait enregistré dans une boîte de nuit. Et c’est pour ce fait que le procureur général hongrois, Péter Polt, a demandé en septembre dernier la levée de l’immunité parlementaire de l’eurodéputé.
Péter Polt est un proche de Viktor Orbán et un ancien membre du Fidesz.
Jeudi 10 octobre, la présidente du Parlement
européen, Roberta Metsola, a annoncé en séance plénière avoir reçu une
demande formelle de Budapest afin de lever l’immunité de Péter Magyar." La suite sur euractiv.fr
"Le président hongrois a dénoncé «l’hostilité» des députés à son encontre
allant même jusqu’à accuser Bruxelles de vouloir «renverser» son
gouvernement.
Ce vendredi, le Premier ministre hongrois Viktor Orban, rentré à Budapest après les passes d'armes au Parlement européen, a dénoncé «l'hostilité» des députés à son encontre, allant jusqu'à accuser Bruxelles de vouloir «renverser» son gouvernement. «Au lieu d'un débat calme et posé sur les grands défis de l'Europe, ils ont été pris d'une fièvre et se sont livrés à un échange d'invectives», a déclaré le président dans son interview régulière à la radio publique.
«Je les ai observés: ce n'était que pure haine, hostilité, une série
d'attaques en règle ignorant les faits, sans aucun intérêt pour le
peuple européen», a-t-il ajouté. Le dirigeant nationaliste, venu mercredi à Strasbourg présenter
les priorités de sa présidence tournante du Conseil de l'UE, s'est
heurté aux attaques d'une large partie de l'hémicycle, pour sa proximité
affichée avec Moscou et ses atteintes à l'État de droit." La suite sur lefigaro.fr
"Dans son avis circonstancié envoyé aux autorités hongroises, la Commission européenne juge contraire au droit de l’Union le décret national qui contraint les vendeurs de produits vendus en ligne, destinés aux enfants et s’inscrivant dans le cadre d’une « propagande LGBT », d’inscrire clairement l’information « Contenu sensible ! ». Outre des considérations relatives au commerce et aux services numériques au sein de l’Union, ce sont également les valeurs de cette dernière qui sont bafouées par ce texte. Il s’agit d’un premier avertissement pour la Hongrie, lequel pourrait être bientôt suivi, en l’absence de réaction par l’exécutif, de l’ouverture par la Commission d’une procédure d’infraction.
La loi hongroise entrée en vigueur en juillet 2021 visant à interdire
auprès des mineurs « la promotion » de l’homosexualité ou du changement
de sexe – interdit depuis 2020 –, sur le modèle de la Russie, a fait
couler beaucoup d’encre. Appelée loi anti-LGBT, critiquée de toutes
parts par les gouvernements nationaux, les associations de défense des
droits dont ceux de la communauté LGBTQIA+, elle s’est également attiré
les foudres de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der
Leyen, quant à sa compatibilité avec les valeurs de l’Union. Le 30 mai
2024, les autorités hongroises ont notifié à la Commission un projet
visant à modifier un décret relatif aux conditions d’exercice des
activités commerciales, qui s’inscrit dans le prolongement de cette loi.
En effet, celui-ci prévoit, pour protéger les mineurs de la
« propagande LGBT », que les produits destinés aux enfants et vendus en
ligne « dont l’élément essentiel est la promotion ou la représentation
d’identités de genre qui ne correspondent pas au genre assigné à la
naissance, à la réassignation sexuelle ou à l’homosexualité ou
potentiellement à la représentation directe, naturelle ou volontaire de
la sexualité » doivent contenir l’information « Contenu sensible ! » de
manière clairement visible." La suite sur dalloz-actualite.fr (article payant)
"Le gazoduc TurkStream, qui achemine le gaz russe vers la Turquie via la mer Noire, pourrait aider l'Europe à faire face à la perte attendue du gaz transitant par l'Ukraine, a déclaré jeudi le ministre hongrois des affaires étrangères, Peter Szijjarto.
Un accord quinquennal entre Kiev et Moscou sur le transit du gaz russe vers l'Europe via l'Ukraine expirera le 31 décembre 2024, et la prolongation du contrat est considérée comme improbable compte tenu du conflit militaire entre les deux ex-pays soviétiques.
M. Szijjarto, qui s'exprimait lors du Forum international du gaz de
Saint-Pétersbourg, a également déclaré que la perte du transit du gaz
russe via l'Ukraine ne nuirait pas à la Hongrie, car le pays reçoit du
gaz russe via le gazoduc TurkStream." La suite sur zonebourse.com
"Malgré l'invasion russe de l'Ukraine et les sanctions occidentales envers Moscou, le ministre hongrois des Affaires étrangères était présent jeudi à un forum consacré à l'énergie qui se tenait en Russie.
Le ministre Peter Szijjarto participait ainsi à un forum sur le gaz à Saint-Pétersbourg. Il a déclaré ne pas craindre de pression européenne en raison de cette visite. "La politique étrangère fait partie de la souveraineté (des pays, NDLR) et nous ne permettrons à personne de la restreindre", aurait-il dit selon des agences de presse russes.
M. Szijjarto a
évoqué, notamment, l'importation de pétrole russe en Hongrie, et son
intention de continuer à importer du gaz naturel russe.
L'approvisionnement énergétique en Hongrie ne peut être garanti qu'avec
la coopération de la Russie, a-t-il affirmé." La suite sur rtl.be
« Construire un nouveau pays étape par étape, brique par brique, et ramener notre pays et construire une nouvelle Hongrie moderne européenne, pacifique et vivable. C’est notre devise et c’est notre plan », a déclaré l’étoile politique montante de la Hongrie, Péter Magyar. à L’Observatoire de l’Europe dans une interview exclusive.
Dans ce podcast, Radio Schuman interviewe Péter Magyar, leader du parti Tisza en Hongrie, qui s’est récemment imposé comme la seule alternative populaire au Premier ministre Viktor Orbán.
Magyar s’est entretenu avec le journaliste politique de L’Observatoire
de l’Europe Vincenzo Genovese dans son bureau à Strasbourg, où
l’eurodéputé hongrois a parlé franchement de la machine médiatique
d’Orbán, de ses propres procès en Hongrie et de sa position sur
l’Ukraine, la migration et les relations avec la Chine." La suite sur observatoiredeleurope.com
"Viktor Orban venait présenter le programme de la présidence semestrielle hongroise du Conseil de l’Union européenne. Mais la plénière strasbourgeoise du 9 octobre a viré à la bataille rangée entre le dirigeant de la Hongrie et ses adversaires, constatent les observateurs magyars.
Viktor Orban était attendu au tournant à Strasbourg. Mercredi 9 octobre, sa présentation de la présidence semestrielle hongroise du Conseil de l’Union européenne (UE) s’est transformée en intense passe d’armes entre ses contempteurs et lui. Parmi les premiers, son rival Peter Magyar, eurodéputé du groupe de droite Parti populaire européen (PPE), Ursula von der Leyen (présidente de la Commission) et Manfred Weber (président du PPE), auteurs de réquisitoires cinglants.
Szabad Europa, l’antenne hongroise du site Radio Free Europe/Radio Liberty, évoque un “règlement de comptes politique” entre Orban et von der Leyen, pointant du doigt notamment la proximité d’Orban avec Moscou et la “libération de nombreux passeurs”. Cette plénière tendue “ne portait pas du tout sur la présidence hongroise”, mais consistait en une “critique des vues et des ambitions politiques de Viktor Orban, ainsi qu’en l’autojustification de l’autre camp”, note le média.
Duel avec Peter MagyarCette séance était aussi le “premier duel entre Peter Magyar et Viktor Orban”, lequel a dénoncé une “intifada politique” du Parlement européen, indique 444. Mais Magyar “n’a pas surpris”, et “ce débat n’était pas une défaite pour le [parti d’Orban, la] Fidesz”, estime un analyste..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
"L'automne est une période vraiment magique à Budapest, lorsque les parcs et les espaces verts se parent de nuances d'or et de rouge. La chaleur du soleil automnal, les arbres couverts de feuilles colorées et l'air frais forment un décor charmant pour une promenade romantique dans la ville. Il existe de nombreux endroits dans la capitale où vous et votre partenaire pourrez vous éloigner de l'agitation de la vie quotidienne et profiter de la beauté des couleurs de l'automne.
Parc de la ville
Les sentiers du parc le plus célèbre de Budapest s'apaisent en automne et les arbres se parent d'une voûte colorée. À cette époque de l'année, le parc ressemble à un film romantique : vous pouvez vous promener autour du château magique de Vajdahunyad, vous détendre à l'ombre des platanes et profiter de la vue depuis le sommet du bâtiment unique du Musée d'ethnographie . Vous pouvez pique-niquer dans les petites clairières et nourrir les canards au bord du lac. C'est l'endroit idéal pour une belle promenade !
Adresse : H-1146, Budapest, Parc de la ville (Városliget)" La suite sur budapestinfo.hu
"Une conférence de presse fleuve mardi 8 octobre, un grand oral le lendemain devant les eurodéputés : Viktor Orban fait son show au Parlement de Strasbourg. Le premier ministre hongrois est moins isolé qu'il n'y paraît sur un dossier central, celui de la politique migratoire européenne.
Viktor Orban peut d'abord compter sur ses vrais amis. Ceux qu'il a retrouvés dimanche 6 octobre sur le podium de Pontida, en Italie, lors de la grande fête annuelle des droites radicales organisée par le chef de la Lega Matteo Salvini. Ces extrême-droites européennes ont le vent en poupe. Elles sont au pouvoir - ou à ses portes - en Italie, aux Pays Bas, en République tchèque, en Autriche, et peut-être dans un avenir proche en France. Et Viktor Orban est un peu leur parrain, lui qui règne en maître à Budapest depuis plus de quatorze ans et qui a porté sur les fonds baptismaux le nouveau groupe des Patriotes pour l’Europe, troisième en nombre de députés au Parlement de Strasbourg.
Protéger l'Europe chrétienneLe
ciment de cette grande famille des "Patriotes" est la lutte contre
l'immigration, "l'invasion des migrants", "l'extrémisme islamiste", le
"grand remplacement" qui guetteraient l'Europe, carburant électoral
commun dans une galaxie politique en pleine dynamique. Lors de sa
conférence de presse fleuve mardi 8 octobre à Strasbourg, Viktor Orban a
décliné son programme pour protéger l'Europe chrétienne : contrôle des
migrants hors des frontières européennes et sortie des règles de l'UE
sur l'asile. La Hongrie en a fait la demande officielle lundi 7 octobre,
emboîtant le pas des Pays Bas." La suite sur radiofrance.fr
"A la mi-temps de la présidence hongroise de l'UE, Ursula von der Leyen et les leaders des groupes parlementaires traditionnels ont étrillé la politique du Premier ministre « illibéral ». Budapest doit accueillir en novembre un sommet européen consacré à la compétitivité.
Trois mois après le début d'une présidence hongroise de l'UE électrique sonnait ce mercredi matin l'heure des explications à Strasbourg. Devant le Parlement européen réuni en plénière, à qui Viktor Orban avait au préalable présenté un rapide point d'étape, le Premier ministre hongrois a essuyé une pluie d'attaques acérées de la part de la présidente de Commission européenne et des leaders des familles du centre de l'échiquier politique.
Dans une adresse mordante, Ursula von der Leyen a d'abord rappelé que le
peuple hongrois a pu compter sur la solidarité européenne après que des inondations catastrophiques
ont ravagé des régions entières d'Europe centrale le mois dernier. Elle
s'est ensuite étonnée que Viktor Orban « rende responsable de la guerre
en Ukraine non les envahisseurs, mais les envahis », à savoir les
Ukrainiens eux-mêmes. Le dirigeant hongrois, au pouvoir depuis quatorze
ans, affirme que l'Europe, avec son soutien à l'Ukraine, ne fait que
prolonger un conflit dont Kiev ne pourra sortir vainqueur." La suite sur lesechos.fr
"Le dirigeant nationaliste hongrois, Viktor Orban, est venu à Strasbourg présenter les priorités de la présidence tournante du Conseil de l'UE, attribuée à la Hongrie jusqu'à fin décembre. "L'Union européenne a besoin de changer" a-t-il affirmé, mercredi, devant les eurodéputés qui en retour l'ont accusé d'autoritarisme et de "propagande".
L'intervention du Premier ministre hongrois Viktor Orban au Parlement européen, mercredi 9 octobre, a tourné à la foire d'empoigne avec une large partie de l'hémicycle, qui a pilonné sa proximité avec Vladimir Poutine et ses atteintes à l'État de droit.
"L'Union européenne a besoin de changer" et la présidence hongroise "veut être le catalyseur de ce changement", a-t-il affirmé devant les eurodéputés, en insistant à plusieurs reprises sur la lutte contre l'immigration ou en remettant en cause la stratégie européenne en Ukraine.
Orban fait cavalier seul sur la guerre en UkraineLes
passes d'armes se sont multipliées dans l'hémicycle sur sa proximité
affichée avec Moscou, où Viktor Orban était allé rencontrer Vladimir
Poutine en juillet, à front renversé avec les positions diplomatiques
européennes." La suite sur france24.com
"Le match entre Israël et les Bleus, qui se tiendra jeudi 10 octobre à Budapest, a été classé à risque par les autorités hongroises. La sélection israélienne fait l’objet de mesures de sécurité renforcées depuis son exil, en raison de la guerre avec le Hamas.
La rencontre entre Israël et la France, ce jeudi en Ligue des nations
(20 h 45), se jouera dans une ambiance particulière. Déjà parce que les
Bleus et Blancs reçoivent les Français à Budapest
(Hongrie), en raison de la guerre qui secoue l’État hébreu. Un contexte
qui a amené les autorités hongroises a classer cette rencontre comme un
match à « risque élevé », trois jours après les commémorations du 7 octobre." La suite sur ouest-france.fr
"Des militants de l'ONG SOS Villages d'Enfants ont organisé une manifestation devant une grande gare pour attirer l'attention sur les 300 nouveau-nés abandonnés chaque année dans les maternités.
L'organisation non gouvernementale SOS Villages d'enfants a organisé une manifestation devant la gare de Nyugati, à Budapest, afin de sensibiliser le public au nombre élevé de nouveau-nés abandonnés après leur naissance.
Pour
alerter le public, les militants ont placé des dizaines de poupées
représentant des bébés dans des berceaux, et les ont abandonnés au
centre de la place. Ils ont également placé les poupées sur les épaules
de plusieurs statues à Budapest pour sensibiliser à l'importance du rôle
des familles d'accueil." La suite sur euronews.com
"Le plan de l'UE visant à obtenir un prêt de 35 milliards d'euros pour l'Ukraine implique une modification essentielle du régime de sanctions que la Hongrie bloque jusqu'à présent.
La Hongrie a confirmé mardi qu'elle ne soutiendrait pas la modification des sanctions de l'UE sur les avoirs gelés de la Russie dont les alliés du G7 ont besoin comme garantie pour accorder un prêt de 45 milliards d'euros (50 milliards de dollars) à l'Ukraine jusqu'à la fin des élections américaines le mois prochain.
Le
projet du G7 vise à utiliser les bénéfices exceptionnels générés par
les avoirs russes gelés pour rembourser progressivement les fonds
accordés à Kyiv, en évitant aux alliés de payer la facture. D'autres alliés du G7 devraient apporter leur contribution jusqu'à ce que le montant total atteigne 45 milliards d'euros (50 milliards de dollars)." La suite sur euronews.com
"Lors d'une conférence de presse, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a présenté les priorités de la présidence hongroise au Parlement européen à Strasbourg. Il a affirmé que "l'Ukraine ne peut pas gagner sur le champ de bataille".
Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a exposé les priorités de son pays pour sa présidence de l'Union européenne, y compris un cessez-le-feu en Ukraine, lors d'une conférence de presse à Strasbourg.
Au cours de sa prise de parole, il a affirmé que "l'Ukraine ne peut pas gagner sur le champ de bataille",
ajoutant qu'il est dans l'intérêt de l'Union européenne d'établir une
meilleure communication avec la Russie pour négocier un cessez-le-feu." La suite sur euronews.com
"Strasbourg - Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, débarque mardi au Parlement européen, à Strasbourg, pour un face-à-face avec les eurodéputés qui s’annonce explosif.
Une conférence de presse mardi, un discours en séance plénière le lendemain : le tempétueux dirigeant hongrois devrait saisir cette double occasion pour marteler ses désaccords avec la Commission et lancer quelques formules-chocs. Il a donné le ton dimanche en annonçant vouloir « reprendre Bruxelles aux bureaucrates pour la rendre au peuple européen ». Et en prenant soin de souligner le poids croissant de ses alliés en Europe, après les succès électoraux de l’extrême droite en Italie, aux Pays-Bas, en Autriche et en République Tchèque. « Nous avançons sur la voie de l’unification de la droite en Europe », a-t-il assuré.
« Ministres puérils». Affichant une forme de proximité avec Vladimir Poutine, Viktor Orban
s’est lancé début juillet, dès le deuxième jour de la présidence
hongroise, dans une « mission de paix » à Kiev, Moscou et Pékin,
suscitant l’ire des dirigeants européens. Depuis, la présidente de la
Commission européenne, Ursula von der Leyen,
a ordonné aux commissaires de boycotter une série de réunions en
Hongrie, se faisant représenter uniquement au niveau technique, une
première dans l’histoire des institutions européennes. « On a des
ministres et des commissaires puérils qui parfois viennent et qui
parfois ne viennent pas », a taclé Viktor Orban. « Ils croient se payer
notre tête, mais ils ne font que se ridiculiser, l’UE ne devrait pas
devenir un jardin d’enfants »." La suite sur lopinion.fr
"Qui se ressemble • Alors que la Hongrie assure la présidence tournante de l’Union européenne, son très conservateur Premier ministre, Viktor Orbán, n’a pas dissimulé le plaisir qu’il aurait de voir Donald Trump reprendre le Bureau ovale.
Si Donald Trump était élu, « nous ouvrirons plein de bouteilles de champagne ! », a lancé Viktor Orbán, le Premier ministre hongrois, lors d’une conférence de presse à Strasbourg, en marge d’une séance plénière du Parlement européen devant lequel il doit s’exprimer mercredi.
Rappelant qu’un sommet des dirigeants des 27 était prévu à Budapest le 7 novembre, soit deux jours après le rendez-vous électoral américain, Viktor Orbán a estimé que ce serait le moment idéal pour se pencher sur le programme de l’ex-président et candidat." La suite sur 20minutes.fr
"Une nouvelle étude révèle qu’il n’est pas nécessaire de se ruiner pour visiter certaines des villes les plus populaires du continent.
Certaines destinations de vacances en Europe peuvent être extrêmement chères – pensez à Monaco, à la Suisse et à la côte amalfitaine. Cependant, le continent compte 44 pays et territoires, ce qui signifie qu’il existe des voyages proposés pour tous les budgets.
Si vous recherchez une escapade européenne sans vous ruiner, vous avez de la chance.
Eurail, le fournisseur d’Interrail Pass, a dressé une liste pratique des dix villes les plus abordables du continent. Beaucoup d’entre elles sont également à portée des autres, donc un voyage multi-villes est tout à fait possible – et pas trop cher.
Voici tout ce que vous devez savoir avant de planifier une aventure économique." La suite sur observatoiredeleurope.com
"Alors que la Géorgie vient d’adopter une nouvelle loi controversée, cette fois contre les droits des personnes LGBTQ, un nombre croissant d’États postsocialistes de l’Union européenne (UE), tels que la Slovaquie, la Bulgarie et la Hongrie, semblent désireux d’adopter des lois similaires. Ces décisions suscitent des inquiétudes au sein de l’UE quant aux violations des règles communautaires et à l’influence d’idéologies pro-russes.
Quelques semaines avant les élections législatives cruciales du 26 octobre, Tbilissi a adopté une loi anti-LGBTQ controversée qui a immédiatement été comparée à la loi répressive russe sur la « propagande homosexuelle ».
La nouvelle loi géorgienne, proposée par le parti Rêve géorgien, restreint la « propagande des relations homosexuelles et de l’inceste »
dans les écoles et à la télévision, interdit le changement de sexe et
l’adoption par des personnes homosexuelles, ce qui a incité l’UE et les
organisations de défense des droits humains à tirer la sonnette
d’alarme. Celles-ci mettent en garde contre le fait que cette loi
restreindrait gravement les droits des personnes homosexuelles dans le
pays." La suite sur euractiv.fr
"La police hongroise a arrêté un Belge de 53 ans accusé du meurtre d’un prêtre hongrois. Comme le précisent les médias locaux, les faits se sont déroulés il y a plus de trente ans, en 1991. À l’époque, la victime a été sauvagement agressée avant de succomber à ses blessures. Un suspect de nationalité belge a été arrêté à Anvers en mars de cette année.
Le matin du 26 août 1991, un prêtre a été retrouvé mort dans la commune hongroise de Paloznak, située dans l’ouest du pays. L’enquête menée à l’époque a révélé qu’un inconnu était entré dans la paroisse la nuit précédente. Il aurait ensuite ligoté une religieuse qui dormait dans la chambre voisine de celle du curé, avant d’agresser sa victime. Le prêtre est décédé des suites de ses blessures. La religieuse, elle, avait été légèrement blessée.
L’auteur
a également volé pour près d’un million de forints (monnaie hongroise,
ndlr) de matériel technique, de l’argent et d’autres objets personnels.
La police hongroise n’a pas réussi à mettre la main sur l’auteur du
meurtre dans les années qui ont suivi. En 2023, l’affaire a été rouverte
à la suite de nouvelles informations." La suite sur 7sur7.be
"Le vice-Premier ministre italien Matteo Salvini, chef de la Ligue anti-migrants et le Premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orban ont attaqué dimanche la Commission de Bruxelles, qualifiée d'"écoterroriste" et "bureaucratique".
"Nous avons le devoir de défendre les entrepreneurs et les agriculteurs italiens dont le travail est mis en danger par les écoterroristes de Bruxelles", a déclaré M. Salvini devant des milliers de sympathisants de son parti réunis à Pontida, dans le nord du pays, pour la fête annuelle de la Ligue.
Notoirement
opposé aux politiques vertes de la Commission européenne, M. Salvini a
accusé Bruxelles de "vouloir fermer les élevages et les usines pour
rendre un service peut-être aux Turcs, aux Chinois et aux
multinationales"." La suite sur tv5monde.com
Sándor Márai, l’un des écrivains hongrois les plus connus fut un véritable « enfant du siècle », dont le destin demeure intimement lié à l’histoire du XXe siècle. Né en 1900 à Kassa, en Hongrie, il mourut à San Diego, en Californie, en 1989. Même s'il vécut longtemps en Allemagne, en France, en Italie et aux États-Unis, il resta attaché à la langue hongroise jusqu'à la fin de sa vie. À l’occasion du 35ème anniversaire de sa mort et de l’exposition consacrée à son œuvre à la bibliothèque Arthur Rimbaud, l'Institut Liszt Paris vous invite à une table ronde autour de la vie et l’œuvre de cet immense écrivain.
Intervenants
: Catherine Fay, traductrice française des œuvres de Sándor Márai,
András Kányádi, maître de conférences à l’INALCO, spécialiste de
l’histoire de la littérature hongroise, György Tverdota, professeur
émérite de l’Université de Budapest, spécialiste de la littérature
hongroise du XXème siècle.
Animé par Ulysse Manhes
Entrée libre
Cet événement a été réalisé grâce au financement de l'Académie Hongroise des Arts de Budapest.
Carson Coma est le groupe de rock à guitare n°1 en Hongrie, avec plus de 80 millions de streams Spotify et des concerts à guichets fermés dans les plus grandes salles et festivals du pays. Leur nouvel album IV, lancé en juin dernier, a eu un impact puissant à la fois sur le public et sur les critiques en raison de ses mélodies post-punk et de ses paroles fortes et politiquement conscientes.
Le groupe a célébré son 5ème anniversaire au MVM Dome en avril, où plus de 10 000 personnes ont pu profiter du spectacle le plus extraordinaire et le plus long à 360°.
LIEU
Le Hasard Ludique
128 Avenue de Saint-Ouen, 75018 Paris, France
TARIFS
prévente : 25€* + fdl
Billetterie
13eart - Théâtre de la place d'Italie 75013 Paris