"Le gouvernement nationaliste fait de l'entrée du grand voisin oriental dans l'Union un repoussoir en vue des élections législatives dans un an.
Les quatorze "consultations nationales" organisées au cours des quinze dernières années consistaient en une douzaine de questions très orientées. La prochaine votation n'en comporte qu'une seule : "Soutenez-vous l'adhésion de l'Ukraine à l'Union européenne ?" Et qu'importe si un tel scénario ne se produirait pas avant la prochaine décennie, en cas d'évolution très favorable du dossier - aucun des trente-trois chapitres de négociation n'est encore ouvert. Sur la base des précédentes consultations, l'on peut anticiper que 10 % à 15 % du corps électoral, uniquement des partisans du Fidesz au pouvoir, prendront la peine de répondre, par la négative. Viktor Orbán pourra alors brandir ce plébiscite en trompe-l'œil à la face de l'Union européenne (UE)." La suite sur lalibre.be (article payant)
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