"Avec son château, son quartier baroque et son parc des statues
communistes, Budapest est marquée par le poids de l’histoire. Mais c’est
aussi une ville festive qui bamboche jusqu’à l’aube dans les romkert
ou «bars de ruines». Ces cabarets qui ont investi les maisons et
jardins abandonnés du quartier juif sont aujourd’hui les lieux phares de
la nuit budapestoise. Virée nocturne.
Du passé, faisons table rase
Niché à l’intérieur d’une maison en ruine, construite en carré autour
d’une cour de terre battue et de pavés, le Szimpla Kert est le plus
culte des romkert. Lancé par une bande de copains qui avaient
installé tables et lampions dans un jardin à peine débroussaillé, il s’y
était lové comme un bernard-l’hermite dans une coquille vide et n’était
pas prévu pour durer. Mais la crise financière a donné un coup d’arrêt
à la spéculation immobilière et le bar éphémère, qui n’est pas un squat
car il paie un loyer au propriétaire, est toujours là." La suite sur liberation.fr
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