"Voyageurs férus de musiques populaires, ces trois compositeurs ont bâti une passerelle entre l'Europe centrale et l'Ouest américain.
D'abord, la jubilation. Celle du Tchèque Antonín Dvorák, en vacances
dans l'Amérique profonde, à Spillwille (Iowa), où il retrouve, en juin
1893, une atmosphère proche de celle de sa Bohême natale. Esquissé en
trois jours, achevé en moins de deux semaines, son très populaire
quatuor en fa majeur « Américain » occupe le centre d'une trilogie
entamée avec la symphonie nº 9, dite « du Nouveau Monde », et conclue
par le quintette à cordes en mi bémol majeur, où les tambours indiens
viendront enrichir la palette du compositeur, pour l'heure
principalement fasciné par les musiques noires." La suite sur telerama.fr
lundi 19 octobre 2015
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