"Cet ancien dissident, et acteur de la vie culturelle hongroise, raconte l’ambiance autoritaire dans son pays depuis que Viktor Orbán est au pouvoir. Une possible résistance par les arts.
Né en 1949 à Budapest, László Rajk n’a que quelques mois lorsque son
père, ministre du gouvernement communiste, est accusé d’être un espion
avant d’être exécuté à l’issue du premier grand procès stalinien de
l’après-guerre. Architecte, le jeune Rajk devient l’un des piliers de la
dissidence contre le communisme." La suite sur liberation.fr
mercredi 21 octobre 2015
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