Au rez-de-chaussée, les premiers clichés
mettent en scène la vie hongroise des années 1910 avec la famille, les
voisins, les souvenirs, les seins nus de Abony, des musiciens ambulants,
des tziganes, Budapest dans la nuit et le frère. Des accidents
s’accumulent ensuite, dans les champs hongrois ou en Roumanie. Datant de
1915, Marche forcée vers le front évoque la catastrophe de la Première
guerre.
L’entre-deux-guerres marque
l’arrivée à Paris, avec ses monuments vus de profil (derrière Notre
Dame, chaises de parcs… ), des vues nocturnes, l’atelier de Mondrian,
des compositions d’objets et des portraits de Colette ou Eisenstein. La
quatrième salle part de son fameux Nageur sous l’eau (1918) pour nous
parler de jeux de lumière et distorsions de Kertesz. Dans une tourelle,
un film de Teri Wehn Damisch, avec des interviews du photographe de
retour en Hongrie, nous permet de mieux contextualiser les œuvres de
Kertész." La suite sur toutelaculture.com
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