"Les rares producteurs ont leur syndicat, l'Association française du
cochon laineux, six adhérents et bientôt davantage, prédit Sébastien
Bappel. «Le mangalitza sera de plus en plus à la mode dans les
restaurants», et le syndicat verrait d'un bon œil les renforts.
Créée officiellement en 2018, l'organisation a pour objectif
prioritaire de faire certifier la race, et d'instituer de strictes
normes pour son élevage. «Démarrer une nouvelle race, c'est très rare.
On veut éviter les déboires qu'a connus la filière du cochon noir de
Bigorre, explique Pierre Guillaume Mercadal, éleveur à Montjoi et
président de l'Association. La première étape, c'est d'obtenir des
animaux reproducteurs de race pure», Des négociations sont «en cours»
avec les institutions du pays d'origine du mangalitza. «Seules une
douzaine de fermes dans le monde ont ces reproducteurs, et elles sont
toutes en Hongrie.»" La suite sur ladepeche.fr
mercredi 10 juillet 2019
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