"Frans Timmermans estime que l'Etat de droit ne saurait être détourné
par des arguties juridiques : une déclaration chargée d'émotion du
numéro 2 de la Commission lors d'un débat sur le respect de l'Etat de
droit au sein de l'Union.
Frans Timmermans, Premier vice-président
de la Commission européenne : "Toutes les sentences de justice
méprisables que les tribunaux nazis ont prononcées étaient basées sur la
loi. C'était en contradiction fondamentale avec l'état de droit, avec
les droits fondamentaux. Mais c'était basé sur des lois. Face à
l'histoire, nous avons le choix : soit la primauté du droit soit c'est
la loi qui prime, mais dans ce cas nous sommes une dictature et nous ne
pouvons plus dire que nous sommes une société démocratique."
Les
tendances autocratiques en Pologne et en Hongrie ont incité l'Union
européenne à agir et dans le paquet de lois présenté ce jeudi, la
Commission propose un examen annuel des États membres accompagnés le cas
échéant d'amendes juridiques et financières." La suite sur euronews.com
vendredi 6 septembre 2019
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