"Malgré une décennie de pouvoir autoritaire notamment marqué par le
muselage de la presse critique, des voix dissonantes continuent
d’émerger dans un univers médiatique profondément sinistré.
Le
déclic s’est produit aux législatives du printemps 2002. Battu de
justesse à la surprise générale après son premier mandat à la tête de la
Hongrie, le jeune Premier ministre déchu Viktor Orban attribua sa
défaite aux médias accusés d’avoir soutenu son adversaire socialiste
Péter Medgyessy. Dès son retour aux affaires en 2010 après deux
législatures de purgatoire, le conservateur mit un point d’honneur à
domestiquer ou museler ses critiques afin d’éviter que son pire
cauchemar politique ne se reproduise." La suite sur lesoir.be (article payant)
jeudi 13 août 2020
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