La
France ne lâche pas l'affaire. Elle veut un contrôle accru des fonds
européens, et milite pour que certaines aides soient conditionnées au
respect des droits fondamentaux par les pays membres. A commencer par
celles comprises dans le plan de relance européen, doté de 750 milliards d'euros dont 390 milliards de subventions.
Clément Beaune,
le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, a ainsi lancé un nouveau
message aux éventuels récalcitrants. « (Nous ne pouvons pas dire) aux
citoyens français, polonais, hongrois et européens que (nous) pouvons
avoir une solidarité financière en Europe sans nous soucier de la
manière dont les règles fondamentales de la démocratie, de la liberté
des médias et de l'égalité des droits sont respectées », a-t-il déclaré
dans une interview au « Financial Times » publiée ce lundi." La suite sur lesechos.fr (article payant)
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