"Face au succès de la série sur Netflix, la championne hongroise d’échecs est sollicitée par les médias pour commenter la crédibilité des scènes de jeu. Mais contrairement à ce que montre la série, les échecs ne sont d'après elle pas suffisamment ouverts aux femmes, et les joueurs pas toujours très élégants.
La série cartonne depuis un mois sur Netflix : Le Jeu de la dame, (The Queen’s Gambit en version originale), l’histoire d’une orpheline qui apprend à jouer aux échecs et dont on suit le parcours brillant. L'adolescente parvient à se faire une place dans les tournois internationaux. C’est une fiction, tirée d’un livre, qui se déroule dans les années 1960, à une époque où en réalité, il n’y a jamais eu de championne d’échecs.
Il a fallu attendre la fin des années 1980 pour voir arriver une femme dans les tournois internationaux : en l’occurrence, Judit Polgar, championne qui a pris sa retraite en 2014 et qui depuis quelques jours refait la Une. Le New York Times et CNN l’ont interviewée. Ici en France, L’Equipe
lui a consacré un portrait. On la sollicite pour savoir ce qu’elle
pense de la série. Est-ce réaliste ? Les parties, les attitudes,
sont-elles crédibles ? De quoi faire sourire Judit Polgar, elle qui
n’est pas arrivée devant un échiquier par hasard mais a été élevée,
entraînée, formatée pour gagner." La suite sur francetvinfo.fr
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