mercredi 27 janvier 2021
Aranka Siegal – Sur la tête de la chèvre
"Je ne sais pas combien de fois j’ai lu et relu Sur la tête de la chèvre après l’avoir reçu en cadeau dans les années 1990. Suffisamment de fois en tout cas pour en garder un souvenir très vif même avant de le relire, pour la première fois depuis près de vingt ans, pour cette série thématique sur l’Holocauste et la littérature avec Patrice de Et si on bouquinait?
Portant (au moins dans la version anglaise que j’ai lue pour ce billet) le sous-titre « Une enfance en Hongrie 1939-1944 », le livre est le récit de l’enfance de l’auteure, une enfance marquée par la guerre et plus encore par sa déportation, en 1944, peu avant son 14e anniversaire. Sur la tête de la chèvre prend fin le jour où, avec sa mère, ses sœurs et son frère, l’auteure – surnommée Piri – monte dans un wagon à bétail avec pour seule indication de sa destination un nom entendu au passage :
« Mrs. Dawidowitz, I overheard two trainmen talking, and one mentioned the word ‘Auschwitz.’ You speak German better than I do. Do you know what it means? »
« Madame Dawidowitz, j’ai entendu par hasard deux cheminots se parler, et un a dit le mot ‘Auschwitz’. Vous parlez allemand mieux que moi. Est-ce que vous savez ce que ça veut dire ? »" La suite sur passagealest.wordpress.com
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