"Le grand classique Les Vikings et un documentaire retraçant le parcours de ce fils d’émigrés hongrois devenu star, composent cette soirée spéciale savoureuse.
À quoi ça tient, hein? Bernard Schwartz voulait changer son nom en Anthony Adverse, en hommage à son roman favori. Les studios préférèrent Tony Curtis. Le gamin du Bronx - pour reprendre le titre du documentaire de Ian Ayres réalisé en 2012 et rediffusé dimanche soir (22 h 50) juste après Les Vikings (1958) - se fit très vite à sa nouvelle identité. Elle lui permit d’entrer dans le panthéon hollywoodien. Cent trente films au compteur, quatre mariages (dont un avec Janet Leigh). Il eut l’honneur de figurer sur la pochette de Sergent Peppers, le disque des Beatles, ce qui n’est pas donné à tout le monde.
Les
témoins insistent sur sa beauté. Elle n’était pas ordinaire. Sa coupe
de cheveux si particulière - cette houppette gominée - inspira James
Dean. L’acteur revenait de loin. Son père était tailleur, sa mère
violente et schizophrène. La famille tire le diable par la queue. Le
gamin devient cireur de chaussures, se réfugie dans les salles de
cinéma. Robin des bois le frappe. Il imite Errol Flynn..." La suite sur lefigaro.fr (article payant)
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