"Fédérateur et populaire, ce dessert régale les Magyars avec ses couches de génoise garnies de raisins secs, accompagnées de crème à la vanille et recouvertes d’un coulis de chocolat.
C’est l’une des pâtisseries favorites des Hongrois. “Il existe peu de desserts aussi adorés dans le pays”, affirme un article de Telex s’intéressant au gâteau éponge local.
Malheureusement, déplore le portail d’information, le somloi est “affreusement maltraité par le secteur de la restauration”, entre “génoises toutes prêtes”, “biscuits à la cuillère”, “mauvais restes de gâteaux” et “puddings visqueux”, le tout mâtiné de “chantilly en tube”, le “pire cauchemar” du plat.
La success-story du somloi galuska remonte à la seconde moitié du XXe siècle, raconte le site. Selon la légende, l’idée “aurait germé de l’esprit du maître d’hôtel du restaurant Gundel”, table budapestoise réputée, proche du parc Bois de Ville. L’entremets fut ensuite présenté à l’Exposition universelle de 1958, à Bruxelles, avec une erreur d’écriture, le transformant en “somlyoi” au lieu de “somloi”. Pour d’autres spécialistes, le dessert serait toutefois “l’œuvre du pâtissier de l’établissement”, et son nom “proviendrait du mont Somlyo”, situé dans la banlieue nord de Budapest, indique Telex.
“L’aspect d’un gâteau tombé par terre”
Quelle que soit la genèse du somloi, “personne ne suit la recette originelle évoquée dans le livre de cuisine de référence de Karoly Gundel”, comprenant “trois génoises et trois crèmes”. La suite sur courrierinternational.com (article payant)
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