"Intraitable envers l'immigration illégale, le pouvoir national-conservateur facilite l'arrivée de personnes étrangères, recrutées jusqu'en Indonésie.
Été 2015. Alors que le flux de migrants explose sur la route des Balkans, Viktor Orbán devient l'idole des droites radicales en barrant la frontière avec la Serbie avec une clôture de 175 kilomètres. L'année suivante, le Premier ministre hongrois assure que son pays, fortement touché par l'immigration, «n'a pas besoin d'un seul migrant pour que son économie fonctionne». Aujourd'hui, derrière le vernis nationaliste de Budapest, des «travailleurs invités» pallient le manque de bras locaux.
Depuis septembre 2021, un décret –poussé par le patronat
magyar– permet aux Vietnamiens, Mongols, Philippins, Indonésiens,
Biélorusses, Kazakhs, Macédoniens, Bosniens et Monténégrins d'obtenir en
quelques semaines des visas de travail de deux ans, renouvelables.
L'été dernier, Budapest
décidait d'assouplir les conditions d'embauche des ressortissants de
quinze États non-membres de l'Union européenne (UE), notamment d'Asie et d'Amérique du Sud." La suite sur slate.fr
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