Avec son rythme effréné, sa mélodie irrésistible qui met particulièrement en valeur le pupitre des cordes et son accompagnement en forme de pompe, basse-accord, la Danse hongroise n°5 de Brahms est un des plus grands tubes du classique. Une musique qui, depuis sa parution en 1869 a connu de nombreuses utilisations au cinéma. Rappelez-vous la scène du barbier dans le film Le Dictateur de Charlie Chaplin en 1940 ou encore la version pleine de suspense de Pierre Richard, violon soliste, qui massacre l’air de Brahms dans Le Retour du Grand Blond d’Yves Robert !
La Danse hongroise n°5 est indissociable de Brahms et nous
rappelle que le natif de Hambourg était fasciné par les musiques
populaires et notamment par la virtuosité des musiciens tziganes. Il
aimait écouter leur musique au point de jouer dès son plus jeune âge, à
19 ans, dans des tournées de concerts en Allemagne aux côtés du
violoniste hongrois Ede Remény. Un musicien qui lui fait connaître en détail le répertoire, le style, les modes de jeux pratiqués par ses pairs." La suite sur radiofrance.fr
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