lundi 1 janvier 2024

En janvier, quelques idées en cas de panne de lecture

"Et voilà, sans avoir à faire d’effort particulier, que débute une nouvelle année. Qui dit nouvelle année, dit aussi nouvelles publications, et pour ce billet je n’ai vraiment pas eu besoin de faire d’effort particulier pour récolter les titres, qui sont nombreux et annoncés depuis un bout de temps. Ce n’est pas souvent qu’une liste de nouvelles publications en provenance de (ou au sujet de) l’Europe centrale, de l’Est et des Balkans se constitue aussi facilement ! Je m’arrête au 31 janvier mais j’aurais aussi pu déborder sur février tellement les titres se pressent déjà pour ce mois-là.

Je commence avec la fiction :


"La maison de mon père, d’Akos Verboczy. J’avais bien envie d’écrire Akos avec l’accent du Á hongrois, et d’ajouter un petit quelque chose au o du nom de famille. Mais Akos Verboczy, né en Hongrie, vit depuis au Québec depuis les années 1980 et c’est donc en français sans accents ni traduction qu’est écrit ce « touchant roman de l’exil et du retour, où une tendre ironie vient sans cesse tempérer la nostalgie. » « Un homme débarque à Budapest, sa ville natale, par un chaud matin d’automne, pour un séjour d’une semaine. Il a l’intention de revoir les anciens copains, la famille, son premier amour. De parcourir de bas en haut son arbre généalogique, ou du moins ce qu’il en reste, du petit cousin hooligan aux grands-parents qui dorment paisiblement, l’espère-t-il, sous les pierres moussues du cimetière » (source et aussi ici). Le bruit du monde, 4 janvier."

... 

"Horn venait la nuit, de Lola Gruber. Un roman dont j’ai suivi en pointillés le développement et dont j’ai ensuite découvert la quatrième de couverture avec plaisir et curiosité. « Que ce soit en invoquant la mémoire juive ashkénaze, les livres de Jules Verne, le clapotis du Danube la nuit ou les banlieues sinistres de Budapest où se terrent des écrivains nobélisables, Lola Gruber nous entraîne dans un formidable roman-enquête mené tambour battant où l’humour côtoie la tragédie, la mort et l’amour à chaque page » (source). Lola Gruber écrit en français, comme elle l’avait déjà fait pour Douze histoires d’amour à faire soi-même (Les petits matins, 2005), Les pingouins dans la jungle (Les petits matins, 2009), et Trois concerts (Phébus, 2019). Christian Bourgois, 11 janvier."

Source : passagealest.wordpress.com

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