"Le départ anticipé de Charles Michel, qui démissionnera en juillet, ouvre la porte au dirigeant hongrois coutumier des diatribes anti-UE si les vingt-sept États membres ne lui trouvent pas de successeur d’ici à la fin de juin. L’hypothèse divise les médias hongrois.
Le 14 décembre 2023, Charles Michel annonçait le démarrage des négociations d’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne (UE), obtenu grâce à la sortie de Viktor Orban au moment du vote. Le 6 janvier 2024, le président du Conseil européen belge, dont le mandat devait s’achever le 30 novembre prochain, a ouvert sa succession au Premier ministre hongrois en déclarant qu’il quitterait ses fonctions en juillet s’il était élu eurodéputé lors des élections européennes de juin.
Selon les traités de l’UE, le pays assurant la présidence tournante du Conseil de l’UE assume également l’intérim à la présidence du Conseil européen, en cas de vacance de celle-ci. Comme la Hongrie présidera le Conseil européen au second semestre 2024, Orban hériterait du poste si les Vingt-Sept ne trouvaient pas de successeur..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
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