"Au lendemain de l’adoption à Bruxelles du Pacte asile et migration, le Premier ministre polonais a affirmé que son pays n’acceptera pas d’accueillir des demandeurs d’asile via le programme "de solidarité obligatoire" prévu dans cette réforme. Le chef du gouvernement hongrois parle lui "d'un autre clou" dans "le cercueil de l'UE".
À peine voté, déjà contesté. Le Pacte asile et migratoire, vaste réforme européenne pour gérer les flux de migrants arrivant en Europe, adopté mercredi 10 avril par le Parlement européen, a fait bondir le Premier ministre polonais. Donald Tusk a affirmé quelques heures après son adoption que son gouvernement "protégerait" la Pologne contre le programme de relocalisation des migrants de l’Union européenne.
"Nous
protégerons la Pologne contre le mécanisme de relocalisation", a lancé
Donald Tusk, pourtant ancien président du Conseil européen. Le Premier
ministre s'adressait à la presse à Varsovie au moment même où était
votée à Bruxelles cette réforme controversée qui durcit les contrôles
des arrivées aux frontières de l’UE." La suite sur infomigrants.net
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.