"À l’instant où l’on ouvre Le Chœur des Lions, les premières notes retentissent, lancent le ton et placent la barre haute : ce sera virtuose. Dès les premiers mots, le lecteur est tiré hors de sa zone de confort. Sa mission est simple : suivre le rythme cadencé que nous impose – nous offre – György Dragomán dans ce bijou de littérature. De narrateur en narratrice, on voyage dans une partition parfaitement maîtrisée. Jamais de fausse note et les sons discordants sont instantanément rattrapés dans un accord parfait.
Traduction et mise en recueil
La traductrice, Joëlle Duffeuilly, relève sans faille le défi que
constitue la langue de Dragomán. La prose semble étonnamment simple,
mais attention, tout le piège est là ! Dans cette langue extrêmement
millimétrée et maitrisée, chaque mot, chaque virgule occupent une place
décisive et contribuent à former un chœur prosaïque. Malgré les
différences intévitables entre la consonnance et la rythmique du
hongrois et du français, les textes traduits restent tout aussi vivants,
candides et joueurs que les textes originaux." La suite sur litteraturehongroise.fr
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