Andras Schiff au Carnegie Hall le 7 mars 2019. Vincent Tullo/The New York Times/REA |
Avouons-le, on tremblait un peu à l’idée d’interviewer Andras Schiff. Mélange de profonde admiration, ancrée depuis de longues années au fil de concerts et d’enregistrements, et de crainte de se retrouver confrontée à une personnalité profonde et vive qui ne mâche pas ses mots. Pour preuve, son ouvrage, La musique vient du silence (1) où, avec brio, il livre les réflexions d’une vie sur son art, bien sûr, mais aussi la politique - il abhorre les populismes dont celui à l’œuvre dans sa Hongrie natale - l’enseignement qu’il juge parfois sévèrement, le matérialisme desséchant..." La suite sur la-croix.com (article payant)
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