"Beauté, amour et spiritualité mêlés : sur les collines de Tivoli, non
loin de Rome, la sublime villa d’Este avait tout pour séduire et
inspirer le mystique Franz Liszt.
C'est par la divine écoute des Jeux d’eau à la villa d’Este,
œuvre visionnaire préfigurant le piano moderne, qu’il faut commencer ce
pèlerinage romain dans les pas de Franz Liszt (1811-1886) : en sept
minutes de notes jaillissantes et de ruissellements scintillants,
inspirés par les fontaines d’un éden suspendu sur les collines de
Tivoli, on comprend autant la métaphore aquatique que sa portée
métaphysique.
Le génie hongrois l’a composée au soir de sa vie (1877), dans sa
période la plus mystique, aux portes d’une Rome éternelle qui fut le
siège de son épanouissement spirituel pendant vingt ans. Car ce prodige
du clavier, rock star avant l’heure plébiscitée pour ses récitals dans
toute l’Europe, séducteur à belle figure convoité par les femmes, fut
aussi un homme de foi, détourné de la prêtrise par ses parents à
l’adolescence. Gravitant tardivement autour du Vatican, il enchaîna les
retraites, entre ville et campagne." La suite sur telerama.fr (article payant)
lundi 9 décembre 2019
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