"Le pianiste András Schiff, hongrois vivant tantôt à Florence, tantôt à
Londres, interprète au pianoforte les sonates et les impromptus de
Schubert. Il est dépositaire d'une tradition musical, d'une mémoire
familiale aussi, qui le porte à transmettre par son art une conception
du monde, attentive à l'autre.
En proposant cet enregistrement sur un instrument de 1820, l'artiste
ne se lance pas dans l'une de ces fantaisies musicologiques,
appauvrissements de la sensibilité par une exigence du son qui peuplent
nos discothèques. Dès les premières notes, un paysage se déploie, tout
de tendresse et de mélancolie
tissé." Source et la suite sur mediapart.fr
dimanche 8 décembre 2019
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