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Valahol Európában, Géza Radványi,1948, 100 min VOSTFR
Le temps remonté : écritures et usages de l’histoire par le cinéma en Hongrie
Ce cycle propose d’explorer les représentations de l’histoire et de la mémoire dans le cinéma hongrois. À partir d’une programmation de films réalisés entre les années 1940 et les années 1980, il s’agit d’interroger les différents tours, détours et retours par lesquels le temps historique devient l’objet d’une poétisation filmique. Comment les films hongrois élaborent-ils des visions complexes du passé à travers ses permanences, ses ruptures, voire ses bouleversements ? Dans quelle mesure l’invocation d’événements historiques, connus ou moins connus, et la fabrication de récits alternatifs permettent-elles aux cinéastes d’interroger le présent et de préparer l’avenir ?
Ce cycle propose d’explorer les représentations de l’histoire et de la mémoire dans le cinéma hongrois. À partir d’une programmation de films réalisés entre les années 1940 et les années 1980, il s’agit d’interroger les différents tours, détours et retours par lesquels le temps historique devient l’objet d’une poétisation filmique. Comment les films hongrois élaborent-ils des visions complexes du passé à travers ses permanences, ses ruptures, voire ses bouleversements ? Dans quelle mesure l’invocation d’événements historiques, connus ou moins connus, et la fabrication de récits alternatifs permettent-elles aux cinéastes d’interroger le présent et de préparer l’avenir ?
Cycle conçu et animé par Damien Marguet, Mathieu Lericq et Beatriz Rodovalho.
Frère de l’écrivain Sándor Márai, le cinéaste Géza
von Radványi est une figure centrale de la cinématographie hongroise
d’après-guerre. Sa carrière débute dans son pays d’origine, avant de
trouver un prolongement à l’international, en France et en Allemagne.
Jeunes filles en uniforme (« Mädchen in Uniform », 1959) est son plus
grand succès populaire. Son premier long-métrage, Quelque part en
Europe, aborde un thème aux accents néoréalistes : le destin dramatique
des orphelins livrés à eux-mêmes pendant la Seconde Guerre mondiale. À
la fois ode à l’humaniste et fable antifasciste, ce film est un
classique du cinéma hongrois.
Séance présentée par Mathieu Lericq.
Entrée libre
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