"Jeudi 1er avril, Viktor Orbán, Mateusz Morawiecki et Matteo Salvini ont esquissé une alliance continentale défendant la chrétienté, la famille et la souveraineté nationale. Le début d’une nouvelle ère relaie la presse pro-pouvoir, un plan bien trop ambitieux selon les médias d’opposition.
Le 4 mars, au lendemain du départ du Fidesz du groupe PPE, plus grande famille politique au Parlement européen, Viktor Orbán appelait de ses vœux l’émergence d’une “droite démocratique européenne”. Ce jeudi 1er avril, au terme d’un sommet tripartite réunissant Viktor Orbán, son homologue polonais Mateusz Morawiecki et son allié italien Matteo Salvini à Budapest, le dirigeant hongrois annonçait, non pas la naissance d’un groupe commun à Bruxelles, mais celle d’un partenariat idéologique, dénommé “renaissance européenne”.
“Alliés importants et influents”
Objectifs : peser sur la Conférence sur l’avenir de l’Europe et mieux défendre les chrétiens-démocrates jugés “orphelins” par le Premier ministre magyar. “Il existe une force, chrétienne-démocrate de droite, prête à représenter l’intérêt des citoyens estimant que l’élite européenne s’est détournée d’eux. Cette communauté propose une alternative à des millions de personnes”, appuie la numéro deux du Fidesz, Katalin Novák, interviewée par la télévision publique.
“Les commentateurs de gauche pensaient que le départ du PPE affaiblirait la marge de manœuvre du Fidesz et de l’exécutif hongrois. Or, c’est le contraire. La rencontre du jeudi 1er avril démontre que le Fidesz bénéficie d’alliés..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
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