Rien ne prédestinait ce fils d’épicier à devenir un jour le père de
l’asepsie et à révolutionner la médecine. Sa famille le rêvait en bel
avocat militaire, servi par une élégance et une prestance naturelle,
alors il part à Vienne pour y étudier le droit. Son destin surréaliste
va s’y jouer, comme tout droit sorti d’un poème de Lautréamont, « beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d’une machine à coudre et d’un parapluie ».
C’est en effet en assistant par hasard à l’autopsie d’une femme morte
de la fièvre puerpérale que ce jeune étudiant aura la révélation de sa
vie. C’est décidé, il sera médecin ! Il s’inscrit alors à l’Ecole de
Médecine de Vienne, une des plus prestigieuses du monde, dont Sigmund
Freud sera aussi, plus tard, l’élève." La suite sur entreprendre.fr
dimanche 18 avril 2021
Médecine : Ignace Semmelweis, le destin fou du père de l’asepsie
"C’est l’histoire d’un homme qui a sauvé des millions et des millions de vie, et qui continue à en sauver tous les jours, bien qu’il soit mort depuis plus de cent cinquante ans ! Mais cet homme extraordinaire eut une vie peu glorieuse et une fin misérable. Il s’appelait Ignace Philippe Semmelweis, c’était un médecin hongrois, et le moins qu’on puisse dire est qu’il ne fut pas prophète en son pays.
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