"Depuis que le Premier ministre Andrej Babiš a accusé la Russie et ses services secrets dans l’affaire des explosions de Vrbětice, les relations entre la République tchèque et la Russie se sont fortement détoriorées. En Europe centrale et de l’Est, Prague peut compter sur le soutien de plusieurs pays anciens satellites de l’URSS. En revanche, comme le notent certains médias tchèques, la solidarité affichée par le groupe de Visegrád est moins évidente. Essentiellement en raison de la position ambigüe de la Hongrie.
Depuis mardi, la République tchèque, au même titre que les Etats-Unis,
l’Ukraine, la Pologne, les Pays baltes ou encore le Royaume-Uni, figure
donc sur la liste des pays hostiles établie récemment par le
gouvernement russe, sur ordre de Vladimir Poutine. La principale
conséquence de cette inscription ne sera pas tant l’interdiction des
importations de bière tchèque, parmi les sanctions économiques
envisagées, que la limitation du nombre d’employés locaux qui seront
autorisés à travailler à l’ambassade et dans les consulats tchèques en
Russie." La suite sur radio.cz
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