jeudi 29 avril 2021

J’ai pris chacune de mes traductions comme un défi à relever


"Interview avec Georges Kassai, doyen des traducteurs de la littérature hongroise, linguiste, auteur de méthodes de langue, ancien directeur de recherche au CNRS.

Le catalogue de la BNF comporte 94 entrées au nom de Georges Kassai. Une performance de traduction qui donne le vertige. Sauf erreur de ma part, le nombre de vos ouvrages égale presque celui de vos années. D’où vient votre attirance pour la littérature ? Comment avez-vous commencé votre carrière de traducteur littéraire ?

Le catalogue en question énumère cent titres, y compris les manuels de langue co-écrits avec Tamás Szende, mais ne tient pas compte des traductions non publiées : une œuvre de Déry, une autre de Bíbó chez Gallimard, etc. Mon intérêt pour la littérature s’explique à la fois par mes lectures d’enfance, (Jules Verne, Charles May, Les étoiles d’Eger, de Géza Gárdonyi ou encore, en poésie, Médaillons d’Attila József, dont je récitais certains poèmes dès l’âge de cinq ans) et par l’influence de mon père adoptif, Andor Németh. Ma première traduction imprimée, publiée en 1942, est d’ailleurs un extrait de sa biographie de Marie-Thérèse." La suite sur litteraturehongroise.fr

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.