"Le ministre hongrois des Affaires étrangères a été reçu par son homologue libanais Gebran Bassil.
Le chef de la diplomatie hongroise, Peter Szijjártó, en visite à Beyrouth, a critiqué lundi la politique de "pression" contre les responsables libanais dont discute actuellement l'Union européenne (UE), affirmant que Budapest n'accepterait pas que des sanctions soient imposées "au plus grand parti politique chrétien" au Liban, à savoir le courant aouniste.
A la demande de la France, qui s'est fortement impliquée dans le dossier
libanais ces derniers mois, l'Union européenne discute de la situation
au pays du Cèdre et des moyens de pression qui peuvent être exercés sur
les responsables libanais qui "bloquent" la formation du nouveau
gouvernement. La mise sur pied de ce cabinet, attendu depuis août 2020,
et notamment le nombre et la répartition des portefeuilles entre les
différentes formations politiques, a provoqué des tensions entre le chef
de l'Etat Michel Aoun et son courant politique, le Courant patriotique
libre, et le Premier ministre désigné, Saad Hariri, qui s'accusent
mutuellement de l'impasse. La mise sur pied de cette équipe
ministérielle est nécessaire afin de lancer des réformes attendues
depuis des années, afin de voir se débloquer des aides promises par la
communauté internationale, alors que le Liban connaît une grave crise
financière et socio-économique." La suite sur lorientlejour.com
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