"Dans un programme consacré entièrement à Beethoven, le chef d’orchestre hongrois Gabor Takacs-Nagy a sublimé le concert du lundi soir
Comme un geste devenu familier au début de ses
concerts, Gabor Takacs-Nagy dégrafe le premier bouton de sa chemise. Un
minuscule geste, auparavant invisible, mais à présent sous le feu des
caméras et des deux écrans géants qui encadrent la scène. Par empathie,
voilà qu’on respire nous aussi beaucoup mieux. Sans baguette, le voici
qui s’élance dans le 2e Concerto pour piano de
Beethoven. Souvent considérée comme «le mal-aimé» des cinq concertos, y
compris par le compositeur lui-même, cette œuvre s’inscrit clairement
dans une lignée mozartienne au niveau des thèmes et suit un découpage
traditionnel en trois mouvements." La suite sur letemps.ch (article payant)
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