"Analyse
Les préfets seront baptisés « châtelains » et les provinces administratives « comitats », conformément à un projet de loi adopté au Parlement mardi 19 juillet. Ce vernis est posé par Budapest dans un contexte d’inflation galopante, de grogne populaire sur la fiscalité et de pression financière de l’UE.
C’est la onzième fois, depuis le retour de Viktor Orban au pouvoir en
2010, que le premier ministre use de sa super-majorité au Parlement
pour changer la Constitution. Pour parachever sa « révolution conservatrice », il convenait à ses yeux de redonner au découpage territorial sa splendeur d’antan." La suite sur la-croix.com (article payant)
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