"La construction du réacteur Paks II subit de grands retards, en particulier en raison d’une gestion russe défaillante. Des négociations sont en cours avec la France pour accroître son rôle dans le projet.
Officiellement, tout va bien. Le premier béton du futur réacteur atomique Paks II, en Hongrie, sera coulé l’an prochain, assurait le PDG du géant russe Rosatom, Alexeï Likhachev, début février. Selon le plan des autorités hongroises, les deux nouveaux réacteurs VVER-1200, entreront en service à l’horizon 2032, doublant les capacités de l’unique centrale nucléaire hongroise, qui produit déjà près de la moitié de l’électricité en Hongrie, à Paks. Mais en réalité, la confusion règne et les signes de fébrilité sont de plus en plus visibles.
Le directeur politique du cabinet du premier ministre Viktor Orban est allé jusqu’à laisser entendre, dans le Financial Times
fin mars, que la participation de Rosatom n’est plus certaine. Le
ministre hongrois des Affaires étrangères, Péter Szijjarto, qui a la
charge du projet, a immédiatement démenti, ainsi que l’ambassadeur de
Russie et l’entreprise russe. Sans pour autant mettre un terme aux
spéculations quant à la réalisation de ce projet à 12,5…" La suite sur lefigaro.fr (article payant)
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