"Alors que la Hongrie occupe la présidence tournante de l’Union européenne depuis le 1er Juillet 2024, le premier ministre hongrois n’a pas encore fait de discours devant le Parlement européen, comme c’est l’usage. Ukraine, état de droit, et immigration Ici l’Europe passe en revue des sujets de discordes entre l’Union et le leader hongrois qui a fait de « Make europe great again » le slogan de sa présidence.
« Envoyer des bus de migrants à Bruxelles ». C’est la menace brandie, il
y a deux semaines, par le gouvernement hongrois de Viktor Orban, qui
refuse de payer l’amende de 200 millions que lui a infligé la justice
européenne, pour non-respect du droit d’asile. Un chantage critiqué au
sein de la sphère européenne, et notamment à la gauche du Parlement
européen. Pour l’eurodéputée socialiste Chloé Ridel, interrogée dans
l’émission Ici l’Europe, sur France 24 et Public Sénat, « en quelques
années, Viktor Orban a fait de l’Europe un continent angoissé de
l’immigration. C’est lui qui en 2015 s’est saisi de la crise migratoire,
et de tous ces Syriens qui fuyaient leur pays en guerre, pour faire
avancer sa vision catastrophiste et xénophobe de la migration. A tel
point que quand on veut nous faire du mal maintenant, on nous fait ce
qu’on appelle du chantage migratoire. Il suffit d’acheminer quelques
migrants à nos frontières pour créer de la crise politique. »" La suite sur publicsenat.fr
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