"Comment faire sentir la puissance de la poésie lorsqu'elle vit dans une
autre langue ? Ce défi, Josef Nadj et Joëlle Léandre le relève avec Penzum. Une pièce chorégraphique, musicale et picturale, qui plonge dans la chair de la langue d'Attila József. Entre jazz et fièvre.
Pièce chorégraphique, musicale et graphique, Penzum (2017)
conjugue musique, danse, poésie et dessin. Au gré d’un duo créé et
interprété par le chorégraphe et danseur Josef Nadj, et la compositrice
et musicienne Joëlle Léandre. Artiste des lisières, Josef Nadj ne cesse
de conjuguer les disciplines. Nourrissant sa pratique chorégraphique de
dessins et photographies, et réciproquement (cf. notamment Mnémosyne, 2018). Avec Penzum,
c’est la poésie et la langue du poète hongrois Attila József
(1905-1937) qui vient ici se joindre à la ronde des gestes, dessins, et
notes. En latin, le pensum désignait la quantité de travail (poids de laine filée) que devait quotidiennement fournir l’esclave. Par dérivation, le pensum
est devenu synonyme du surcroît de travail exigé d’un élève, par
punition. Puis il est devenu synonyme de tâche répétitive et ingrate, en
général. Le mot penzum est ainsi emprunté à l’une des trames de la pièce : un poème d’Attila József." La suite sur paris-art.com
Pavillon Noir
530 Avenue Wolfgang Amadeus Mozart 13627 Aix-en-Provence
mercredi 6 mars 2019
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