"Manfred Weber, chef de file de la droite pour les élections européennes,
était à Budapest, mardi 12 mars, pour renouer le contact avec le
premier ministre hongrois mis en cause par une partie de sa famille
politique au sein de l’UE.
Des panneaux immaculés. Voilà ce que Manfred Weber, le chef de file
de la droite au Parlement européen, a pu admirer lorsqu’il a quitté
l’aéroport de Budapest, mardi 12 mars, pour aller rencontrer en tête à
tête Viktor Orban. Recouvertes dans la nuit, ces affiches associaient,
la veille encore, des photos de Jean-Claude Juncker, le président de la
Commission européenne, et du milliardaire juif américain George Soros,
semblant ourdir, dans le secret des puissants, le « grand remplacement » diabolique des Hongrois par des foules musulmanes.
Ces
affiches ainsi recouvertes, dignes des méthodes communistes, auraient
pu achever de convaincre M. Weber – membre de la CSU, l’aile bavaroise
de la droite allemande, et candidat du Parti populaire européen (PPE) à
la présidence de la Commission – que la Hongrie était durablement en
rupture de ban. Pourtant, le responsable allemand, tout en admettant que
« les problèmes ne sont pas résolus », a cherché une nouvelle fois à éviter l’exclusion du Fidesz, le parti de M. Orban, du PPE." La suite sur lemonde.fr (article payant)
mercredi 13 mars 2019
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