"« Que fallait il construire après 1989 ? Comment et avec qui ? » Dans cette tribune, l’historien Jean-Yves Potel analyse le ton des célébrations de la chute du mur de Berlin il y a trente ans. Une commémoration marquée par le dépit.
Tribune libre – Le dépit, nous dit le dictionnaire, est un chagrin mêlé de colère, dû à une déception, à un froissement d’amour-propre. La commémoration de « la chute du Mur de Berlin », ce 9 novembre 2019, entre dans cette catégorie." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
dimanche 10 novembre 2019
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