«On a l’habitude de dire que, quand
l’Allemagne éternue, les petits pays voisins s’enrhument, et c’est vrai.
Nous nous préparons à cette période de refroidissement», plaisantait
à moitié, récemment, le ministre des Finances hongrois, Mihaly Varga.
Avec un décalage de quelques mois ou trimestres, les pays du groupe de
Visegrad - Pologne, Hongrie, République tchèque et Slovaquie - ainsi que
la Roumanie ou la Bulgarie commencent à sentir l’impact du
ralentissement économique et de la récession industrielle chez leur
grand voisin. Pas un coup d’arrêt brutal, comme en Allemagne, mais un
atterrissage en douceur. La Hongrie devrait ainsi passer d’une
croissance de plus de 5 % l’an dernier à 2,8 % l’année prochaine, selon
les prévisions de la Commission européenne. Les chiffres publiés jeudi
affichent une croissance dans la région à son rythme le plus faible
depuis trois ans. L’an prochain, le PIB des onze pays d’Europe centrale
et orientale membres de l’Union ne devrait progresser que de 2,7 %" La suite sur lefigaro.fr (article payant)
vendredi 15 novembre 2019
L’Europe de l’Est, victime collatérale de la récession industrielle allemande
"Le boom économique que connaît la région depuis plusieurs années, lié
aux vrombissements du moteur allemand, est en train de décélérer.
Libellés :
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