"Qu’un journaliste ne se lève pas de son siège quand le stade a
entonné un chant nationaliste a suffi pour que la droite déterre la
vieille antienne antisémite selon laquelle les juifs en Hongrie seraient
un corps étranger à la nation hongroise.
Regain de nationalisme
en Hongrie à l’approche du centenaire du traité de Trianon du 4 juin
1920. L’inauguration de la Puskás Aréna, le grand stade national,
l'écrin du sport hongrois voulu par Viktor Orbán, était présentée par le
gouvernement comme un acte symbolisant l’unité nationale magyare
par-delà les frontières de la Hongrie . . ." La suite sur courrierinternational.fr (article payant)
samedi 30 novembre 2019
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