"Vous m’imaginez paradant avec ma petite Trabi sur les Champs à Paris, le succès que je me serais taillé ! De quoi détrôner les frimeurs avec leur Ferrari.
Au moment de la chute du Mur de Berlin,
suivie onze mois plus tard de la Réunification (octobre 90), je résidais
en Allemagne, à Francfort-sur-le-Main. Une période que je ne suis pas
prêt d´oublier. Une remarque à ce propos : tout le monde évoque le Mur,
mais il y avait peut-être encore plus spectaculaire : ces routes coupées
en rase campagne, séparant souvent des villages très proches. Avec un no man’s land de deux ou trois cents mètres de terre battue semée de barbelés. Et ce sur une bande de plusieurs centaines de kilomètres." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
lundi 11 novembre 2019
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