Les tableaux de Simon Hantaï (1922-2008), tous noir et blanc, dont quatre grandes Études de la fin des années 1960 et quatre Laissée de 1994-1995, occupent la vaste salle du rez-de-chaussée de la galerie Gagosian, au Bourget. On comprend l’intérêt du marchand américain pour les œuvres de l’artiste franco-hongrois : Hantaï utilisait un procédé de peinture original (le pliage), jouait avec le hasard, assumait la répétition et découpait ses tableaux dans la toile peinte comme un photographe recadre ses photos. Il est le Jackson Pollock européen. Surtout consacrée aux œuvres en noir et blanc (le magnifique Meun de 1968, dans une salle latérale), l’exposition s’autorise quand même quelques œuvres des années 1950, d’avant le pliage, très austères, et, sur la coursive en mezzanine, deux Tabula (pliage en damier) des années 1970 en couleur." La suite sur telerama.fr
mercredi 27 novembre 2019
Les intrigantes peintures de Simon Hantaï, le Jackson Pollock européen
Les tableaux de Simon Hantaï (1922-2008), tous noir et blanc, dont quatre grandes Études de la fin des années 1960 et quatre Laissée de 1994-1995, occupent la vaste salle du rez-de-chaussée de la galerie Gagosian, au Bourget. On comprend l’intérêt du marchand américain pour les œuvres de l’artiste franco-hongrois : Hantaï utilisait un procédé de peinture original (le pliage), jouait avec le hasard, assumait la répétition et découpait ses tableaux dans la toile peinte comme un photographe recadre ses photos. Il est le Jackson Pollock européen. Surtout consacrée aux œuvres en noir et blanc (le magnifique Meun de 1968, dans une salle latérale), l’exposition s’autorise quand même quelques œuvres des années 1950, d’avant le pliage, très austères, et, sur la coursive en mezzanine, deux Tabula (pliage en damier) des années 1970 en couleur." La suite sur telerama.fr
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