"Depuis décembre 2018, Abouzar Soltani et son fils Armin sont
retenus à la frontière serbo-hongroise, dans une “zone de transit” aux
allures de camp. Le réalisateur y a tourné un court métrage, “Fish”,
pour témoigner des conditions de vie inhumaines des demandeurs d'asile.
Devant un ciel bleu azur, le regard d’Armin se pose au loin,
comme appelé par-delà les barbelés qui restreignent sa liberté. Voilà
plus d’un an que l’enfant et son père, le réalisateur iranien Abouzar
Soltani, sont détenus par les autorités hongroises dans la « zone de
transit » de Röszke, qui jouxte la frontière serbe, dans le sud du pays.
Les camps de Röszke et Tompa, situés à une quarantaine de kilomètres l’un de l’autre, ont été créés en 2017 par le gouvernement de Viktor Orbán en réponse à la crise migratoire. Le but ? Intercepter les migrants qui traversent illégalement la frontière et, officiellement, accueillir un temps les demandeurs d’asile qui souhaitent s’installer en Europe. C’est le cas d’Armin, 10 ans, et de son père, Abouzar, né en 1982 et devenu apostat après avoir renié l’islam et s’être converti au catholicisme. Un crime pouvant être puni de la peine de mort en Iran." La suite sur telerama.fr (article payant)
Les camps de Röszke et Tompa, situés à une quarantaine de kilomètres l’un de l’autre, ont été créés en 2017 par le gouvernement de Viktor Orbán en réponse à la crise migratoire. Le but ? Intercepter les migrants qui traversent illégalement la frontière et, officiellement, accueillir un temps les demandeurs d’asile qui souhaitent s’installer en Europe. C’est le cas d’Armin, 10 ans, et de son père, Abouzar, né en 1982 et devenu apostat après avoir renié l’islam et s’être converti au catholicisme. Un crime pouvant être puni de la peine de mort en Iran." La suite sur telerama.fr (article payant)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.