"Cinq ans après la fermeture de la Hongrie aux réfugiés, le premier ministre magyar continue d’instrumentaliser la peur de l’étranger afin de mobiliser sa base et maintenir son emprise sur le pays.
Röszke, été 2015. Dans la nuit du 14 au 15 septembre, sous les yeux des
journalistes du monde entier, un policier barricade le dernier point de
passage non officiel entre la Hongrie et la Serbie où des milliers de
migrants transitaient quotidiennement puis poursuivaient leur chemin
vers l’ouest de l’Europe. Dix jours plus tôt, des milliers de réfugiés
partis de la gare ferroviaire internationale de Keleti empruntaient
l’autoroute M1 Budapest-Vienne à pied, avant que des bus ne les
récupèrent pour les emmener vers l’Autriche puis l’Allemagne, à
l’annonce de l’ouverture du pays aux migrants par la chancelière Merkel." La suite sur woxx.lu
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