vendredi 25 septembre 2020

Le roman familial de la psychanalyse

Benoît Peeters, Sándor Ferenczi. L’enfant terrible de la psychanalyse. Flammarion, 384 p., 23,90 €
 
"Qu’est-ce qui a poussé Benoît Peeters, qui n’est pas psychanalyste, à écrire sur Sándor Ferenczi, au risque des psychanalystes ? En quelle langue d’écriture a-t-il écrit ce livre qui, dit-il, n’est « ni un traité savant, ni une véritable biographie… c’est l’histoire d’une amitié peut-être impossible et d’un amour qui ne le fut pas moins » ?

D’emblée, Peeters situe son ouvrage du côté du roman « vrai », de l’histoire d’amour, et puisqu’il s’agit de psychanalyse, des affres de la relation de « transfert » entre deux hommes – Ferenczi et Freud – dont l’un fut le patient (mais aussi l’élève, l’ami et le collègue) de l’autre. Le livre, nous dit l’auteur, ne s’adresse pas aux psychanalystes, mais à un public plus large. Qui est ce public, comment va-t-il entendre cette histoire si complexe, indissociable des passions théoriques et cliniques qui ont animé ses protagonistes, c’est la question que peut se poser un psychanalyste à la lecture de ce livre. En cela, il est particulièrement difficile d’en faire une recension sans tomber dans une forme de « confusion des langues ». Tentons néanmoins !" La suite sur en-attendant-nadeau.fr

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