" La réforme du droit d'asile de la Commission européenne compose avec les pays rétifs à l'accueil, comme la Hongrie, qui restent pourtant mécontents.
Et en plus, il fait la fine bouche ! Avec son "Pacte européen pour la migration et l'asile", la Commission a fait une concession de taille à Viktor Orban
en abandonnant le principe des quotas d'accueil de demandeurs d'asile.
Mais voilà, comme ses homologues polonais et tchèque, le dirigeant
hongrois n'est toujours pas satisfait. Car il subsiste, dans cette
réforme, une obligation - théorique - d'accueillir des réfugiés. A deux
conditions qui doivent se cumuler. 1) Si une crise comme celle de 2015
survient (plus de 1 million d'arrivées sur le sol européen, contre
seulement 140 000 en 2019...).
2) Si le pays membre échoue à aider un pays d'entrée tel que laGrèce à
expulser des déboutés du droit d'asile. Cela fait beaucoup de "si". Il
n'empêche, pour Orban, c'est inacceptable." La suite sur lexpress.fr (article payant)
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